Retour sur le Start-Up Breakfast #3 — L’anti-pitch de Keymantics et Qonto

Retour sur le Start-Up Breakfast #3 — L’anti-pitch de Keymantics et Qonto Retour sur le Start-Up Breakfast #3 — L’anti-pitch de Keymantics et Qonto A 25 ans, Arthur Quérou n’en n’est pas à son premier coup d’essai entrepreneurial. A l’âge de 14 -15 ans, sa mère décide de ne plus lui acheter de jeux vidéo; ces derniers impactent alors sérieusement ses résultats scolaires. C’est le déclic pour Arthur qui utilise internet comme un tremplin pour s’acheter ses propres jeux vidéo. De fil en aiguille, il réalise différents sites dont un qui devient leader de son marché et qu’il finit par revendre à un groupe de presse belge. Puis vient sa période du « spam », plus facile à vendre selon lui, avec plus de 250 000 messages par jour sur Twitter et Facebook. Il finit par rejoindre Epita – seule école d’informatique qui a bien voulu l’accepter – où il rencontre Louis, son futur associé. Ensemble ils décident de créer une structure juridique pour facturer du développement IT. En voulant se créer un portfolio d’applications ils finissent par développer « un peu par erreur » une banque d’images et de gifs, qui connaît vite un succès phénoménal. Plus de 4 % des habitants de Singapour téléchargent son application alors qu’il n’y a jamais posé les pieds. C’est la magie du web, les frontières disparaissent pour les utilisateurs ! Après la vente de cette deuxième entreprise, ils décident de s’associer de nouveau pour créer un business autour de la publicité : l’AdTech. Leur expertise en matière d’expérience utilisateur les amèneront jusqu’au États-Unis où l’incubateur Y Combinator les accueille pour 4 mois. De retour en France, ils revoient leur stratégie commerciale et font la rencontre d’Adikteev qu’ils finissent par rejoindre en 2015. Aujourd’hui leur entreprise regroupe une centaine de collaborateurs avec des bureaux à Berlin ou encore New York. Ces derniers mois, Arthur est parti d’Adikteev, pour s’associer cette fois avec Franck Tetzlaff (CTO et co-fondateur de Doctolib). Leur objectif est d’apporter un nouveau regard sur le traitement de la donnée publicitaire. Ils lancent donc une technologie de ciblage publicitaire appelée Keymantics. « Mon envie d’entrepreneuriat est venue graduellement », Alexandre Prot Alexandre Prot a quant à lui commencé sur les bancs d’HEC et poursuit son parcours chez Goldman Sachs et McKinsey. Son envie d’entreprendre est venue graduellement. Il a d’abord travaillé avec Rocket Internet, un incubateur allemand, pour qui il a eu l’opportunité de développer un projet semblable à Airbnb; mais le géant Américain aura eu raison d’eux. En 2013, il retrouve un ami du lycée Steve Anavi, ingénieur de formation, avec qui il se lance dans l’aventure entrepreneuriale, à son compte cette fois-ci. De ces retrouvailles naît Smok.io. Le concept est simple : une cigarette électronique pour arrêter de fumer. L’outil était technique et perfectionné mais leur stratégie commerciale bancale. Ils réussissent tout de même à faire une belle vente de leurs produits sur leur site web et via Amazon. Un des plus gros acteurs mondiaux du tabac finit par racheter leur entreprise afin de l’intégrer dans leur branche R&D. Après cette aventure, les deux hommes ne souhaitent pas s’arrêter là. Leur première collaboration fut un succès, alors ils décident de continuer. Mais cette fois ils se tournent vers le milieu bancaire. C’est lors de la création de leur première entreprise que les deux hommes se rendent compte que les produits et services bancaires ne sont pas du tout adaptés aux petites entreprises. Ils fondent alors Qonto, une « néo-banque » pour les indépendants et PME. Aujourd’hui ils sont une trentaine de collaborateurs, ont 1500 clients et viennent de lever plus de 12 millions d’euros (seed et série A). Leur objectif est avant tout de répondre aux problématiques des TPE et PME en proposant un service adapté à leurs besoins et ainsi faciliter leur comptabilité. Selon eux, la réglementation n’empêche pas d’innover mais des partenariats avec d’autres fintechs, tels que Finexkap dans l’affacturage ou Lendix dans le crowdlending, leur permettrait de proposer d’autres solutions bancaires à leurs clients. Un leitmotiv : rester focus ! Pour Alexandre, c’est avant tout l’équipe qui justifie le succès d’une start-up. Pour lui, l’association des talents, beaucoup de travail et un peu de chance serait la combinaison idéale. A l’inverse, ces différentes expériences l’ont amené à penser que le « hardware est plus dur que le soft » (« hardware is hard »). Sans mauvais jeux de mots il nous explique que « la marge d’erreur est plus facile à encaisser pour un logiciel car l’agilité du produit est plus facile à appréhender ». A l’inverse sortir un produit « hardware » nécessite une vigilance bien plus accrue puisqu’après la fabrication, il est impossible de revenir en arrière, où cela coûte très cher. Arthur, quant à lui, met l’accent sur les relations entre associés, qui peuvent parfois être une “bombe à retardement”. De plus, le côté juridique serait selon lui souvent négligé par les fondateurs, et pourtant, il pose de solides bases pour commencer une aventure entrepreneuriale, et éviter justement des rapports conflictuels entre associés. Enfin, ce qui fait le succès d’une entreprise est selon lui la capacité d’un entrepreneur à rester « focus » et à traiter un à un les problèmes, plutôt que tous d’un coup. « Je n’invente rien en disant qu’à courir après 2 lièvres, on en attrape aucun ». La France, un terrain de jeu adapté ? La question de rester sur le territoire français se pose au vu des difficultés que peuvent rencontrer certains entrepreneurs lors de la création d’une start-up. Néanmoins, ce n’est pas ce qui a effrayé nos deux start-uppeurs, bien au contraire ! Pour Arthur son expérience américaine n’aura pas été à son goût, les mentalités étant bien différentes outre-atlantique, il a préféré se lancer en France avec des techniciens et un côté administratif « plus simple ». Alexandre lui ne se voyait pas entreprendre ailleurs qu’en France. Il y avait beaucoup à faire dans le secteur bancaire, mais l’idée de s’exporter en Europe trotte

Retour sur le dîner VC & Startups en compagnie de Bartosz Jakubowski du fonds Alven.

Retour sur le dîner VC & Startups en compagnie de Bartosz Jakubowski du fonds Alven. Retour sur le dîner VC & Startups en compagnie de Bartosz Jakubowski du fonds Alven. Jeudi soir, sur les coups de 20 heures plusieurs entrepreneurs se retrouvaient autour de Bartosz Jakubowski du fonds Alven en plein Paris pour diner. Échanges conviviaux et bonnes pratiques étaient au rendez-vous afin de démystifier les méthodes d’investissement des fonds VC. Un dîner donc tourné sur les levées de fonds qui a répondu aux questionnements des participants.  Voici un résumé des échanges en 4 questions. Comment approcher un fonds ? Networker serait-il le nerf de la guerre ? Loin de vouloir vous décourager, votre levée de fonds va dépendre de vos contacts et votre capacité à approcher les bonnes personnes au bon moment. Attention, rien ne sert de bassiner le monde entier avec votre solution mais savoir intéresser les bonnes personnes de votre réseau est clé. Avant même de parler de levée de fonds, commencez par nouer des relations avec les investisseurs. Les rencontrer et entrer en discussion avec eux est un bon moyen de développer vos relations et de mieux comprendre les attentes du fonds que vous visez. Un autre point d’ancrage auprès des fonds VC est la recommandation. Ici encore, le networking entre en jeu. Les portefeuilles de startups des fonds VC sont disponibles sur leurs sites internet, rien ne vous empêche d’entrer en relation avec l’une d’entre elle.  Veillez toutefois à ne pas dévoiler toutes les cartes de votre jeu au même moment ! Table ronde et présentation des entrepreneurs présents au dîner Que va regarder un fonds VC pour faire ses choix d’investissement ? L’une des premières phrases de Bartosz Jakubowski donne une idée claire sur le mode de fonctionnement d’un fonds VC. « Nous cherchons des gens ambitieux qui ont un secret sur le marché avec une vision propre et qui veulent attaquer des immenses marchés de manière différenciée et profitable ». En suivant ces conseils, assurez-vous d’avoir la recette magique, ou du moins une idée précise, qui vous permettra d’attaquer votre marché de la meilleure des façons. Sans être loufoque, votre recette magique est ce qui va vous différencier des autres startups cherchant à séduire le fonds que vous visez.  N’oubliez pas également que votre recette magique se doit de suivre certains « KPIs » (indicateurs clés de performance). Entre signaux faibles provenant du marché et vos résultats internes, les investisseurs seront à l’affût des évolutions de votre startup. Pour une solution SaaS, le nombre d’utilisateurs et le taux de rétention seront des éléments à forte valeur. Les fonds s’intéresseront également à vos moyens d’acquisition et au sens qu’ils dégagent. Bartosz donnant des explications sur les KPI regardés par les investisseurs Combien lever et comment le savoir ? Viser toujours plus haut ? Ici encore, Bartosz répond franchement « Il faut toujours demander plus que ce que l’on a calculé, dans la réalité, rien ne se passe jamais comme prévu ». Pour savoir combien demander, posez toutes les actions que vous souhaitez mettre en place et budgétisez-les, « Si je veux faire ça, j’ai besoin de ça, ça et ça ». Une méthode simple et efficace ! Echanges entre les participants et Bartosz durant le dîner Comment les fonds fonctionnent-ils ? Les fonds d’investissements ont également leurs clients, ceux qui injectent les fonds qui seront utilisés. Ces clients ont généralement des attentes importantes quant à leurs retour sur investissement. Un fonds comme Alven a pour mission de multiplier par 3 les fonds injectés par ses clients. Le Venture Capital ne s’appelle pas capital risque pour rien : difficile de tomber sur la pépite qui multipliera l’investissement réalisé par un gros ratio comme le souhaite ces limited partners, les clients des fonds. D’autant plus lorsque l’on prend en compte les 30 à 40 % de « morts » dans les portefeuilles d’investissement. Tous ces ratios signifient qu’un fonds de 250 millions d’euros doit obtenir une création globale de ses startups en portefeuille de 4 milliards d’euros sur 10 années. Pour conclure, une startup rentable peut être considérée comme un échec par un fonds car celle-ci ne fait pas x5 ou x 10 alors qu’elle sera considérée comme un succès par l’entrepreneur. Article rédigé par Adèle Pasquier d’Estimeo. #startup #investissement #valorisation #investisseur #levéedefonds Événement • Non classé

Retour d’expérience de Lorraine de Gournay après 15 années comme Directrice Générale chez Eric Bompa

Retour d’expérience de Lorraine de Gournay après 15 années comme Directrice Générale chez Eric Bompa Retour d’expérience de Lorraine de Gournay après 15 années comme Directrice Générale chez Eric Bompa Mercredi 19 juin au matin, l’Incubateur Paris-Dauphine a accueilli Lorraine de Gournay, Directrice Générale d’Eric Bompard. Sous sa direction, le chiffre d’affaires de la marque a quadruplé passant de 25 millions en 2004 à plus de 100 millions d’euros en 2018. Sous l’oreille attentive des startuppeurs de l’incubateur, Lorraine nous a livré ses conseils et son retour sur ses 15 années d’expérience. Échange plus que riche d’une cheffe d’entreprise à l’âme entrepreneuriale résumé en 5 points. Intervention de Lorraine de Gournay, ex directrice générale d’Eric Bompard à l’Incubateur Paris Dauphine Les Conseils de Lorraine de Gourmay Conseil n°1 _Bien plus qu’une société, une marque. La vision de marque est primordiale dans une société : se projeter et se demander quelles sont les attentes du consommateur. La marque qu’un DG doit défendre au quotidien, ce n’est pas seulement un nom mais surtout un produit, un service, une couleur et un logo. Pour devenir une marque emblématique, le consommateur doit se l’approprier et en faire un nom commun. « Il fallait que dans l’inconscient collectif on ne dise pas, je vais mettre mon pull en cachemire, mais j’enfile mon Bompard », explique très concrètement Lorraine. Voici pourquoi le story-telling est important ; il transmet l’ADN de la marque aussi bien aux clients qu’aux employés. Lorraine précise que « le but n’est pas d’être sectaire mais qu’il faut être sûr de son produit ». Conseil n°2 _Les qualités incontournables pour un DG. Lorsque 70 % du chiffre d’affaires dépend d’une courte période de l’année, provoquer une « dévotion » de la part des employés est indispensable. Comme celle d’être présent pendant la période de Noël dans le monde du retail. Tout DG doit adapter son discours au profil du collaborateur qui lui fait face pour bien manager. « Un bon DG ne sait pas mieux que tout le monde mais il s’entoure de personnes complémentaires qui savent mieux que lui », un conseil plus qu’utile donné par Lorraine. Être DG implique donc beaucoup de pression, et de prendre des décisions qui ne sont pas toujours bien accueillies. Lorraine nous confie que « lorsqu’on prend une bonne décision peu le remarque mais au premier faux pas tout le monde est contre toi ». Conseil n°3_Vivre avec son temps. « Afin de revitaliser la société, nous entendons engager des jeunes sauf qu’il ne faut pas les laisser plus de 2 ans à la même place pour ne pas provoquer de lassitude ». Pour le bien de la marque, il ne faut pas hésiter à déléguer à quelqu’un qui pourrait apporter un coup de fraîcheur et avoir l’humilité de dire : « ce nouveau monde je ne le comprends pas et les jeunes le comprendront plus que moi ». Echange avec Lorraine de Gournay Conseil n°4_Ne pas tomber dans le piège de la diversification à outrance. Le DG doit bien choyer son idée de départ et garder son fil directeur. Certes, la campagne d’Eric Bompard avec la chèvre a été vue et revue, ce qui permet aux clients de s’identifier et de demeurer convaincu de la qualité du produit. En interne, il est décidé de changer d’orientation de communication, une déception pour les clients qui appréciaient cette fameuse chèvre de Gobi. Croire en son business model, en sa marque et savoir à qui on s’adresse est à retenir. Un DG doit défendre son idée et ne pas chercher à « toucher à tout » une fois que la cible et le produit sont bien déterminés. Conseil n°5_Bien démarrer et gérer sa boite. Pour bien gérer sa boîte il faut en être le principal actionnaire. Eric Bompard a passé beaucoup de temps à se reluer, une entreprise qui s’avère rapidement fastidieuse. Même si ce n’est pas le projet de tout entrepreneur, il faut partir du principe que l’on souhaite revendre sa boîte au meilleur moment et au meilleur prix. Ce qui reste d’actualité pour n’importe quelle entreprise quelle que soit sa taille est de rester en mode startup : toujours voir plus loin et plus gros que ce qui a été fait avant. Autre conseil : se challenger mutuellement au sein de l’équipe, s’écouter, débattre. Nous nous devons quel que soit notre poste d’être insatiable et de ne pas se contenter de l’acquis mais chercher toujours plus loin. Comme le disait Steve Jobs « Stay foolish stay hungry ». Article écrit par Alice Mizrahi d’Estimeo . #DG #management #startup #valorisation Chronique • Non classé

Quels outils pour bien gérer ma love money ?

Quels outils pour bien gérer ma love money ? Quels outils pour bien gérer ma love money ? Vous venez de vous lancer dans l’entrepreneuriat et vous vous demandez comment envisager le financement de votre start-up ? Les solutions de financement ne semblent pas manquer, c’est même compliqué de s’y retrouver ! Cependant, la première étape est souvent évidente car la plupart des financeurs vont vous poser la même question, déterminante pour qu’ils vous accordent un financement : quel est le montant de vos fonds propres ? Autrement dit : combien d’argent avez-vous mis dans votre propre entreprise ? Cela peut sembler étonnant mais c’est assez logique : le fait que vous ayez vous-même financé votre entreprise les rassure en termes de prise de risque. Cela est une preuve de votre engagement personnel. Mais très souvent quand on se lance, on n’a pas les moyens financiers nécessaires pour cela. Alors, comment faire ?  Vous avez quelques options, souvent complémentaires : faire appel à votre réseau personnel (love money), activer les aides de Pôle Emploi si vous avez eu un emploi salarié auparavant et demander un prêt d’honneur (qui vous est accordé personnellement et mis en compte-courant d’associé). Les deux dernières options sont assez encadrées, par contre pour la première vous avez le choix des modalités. Et le choix que vous faites peut avoir un impact significatif plus tard. Pour bien anticiper cet impact, voici les différentes possibilités pour gérer votre love money, soit l’argent “des personnes qui vous aiment” et sont prêtes à soutenir votre projet. Love money : gestion par le don ou l’emprunt personnel Si les personnes qui sont prêtes à vous soutenir sont vraiment très proches, elles peuvent vous faire un don ou un prêt personnel. Vous pouvez ensuite investir cette somme dans votre structure, à votre nom, en tant que capitaux propres.  Cette solution a l’avantage de ne pas impliquer vos proches dans la gouvernance de votre nouvelle entreprise. Mais attention : il est préférable que les conditions soient très claires pour l’ensemble des personnes concernées, écrites noir sur blanc, pour avoir une trace pour plus tard si besoin n’oubliez pas les impacts fiscaux, pour vous ainsi que pour les autres personnes impliquées Les royalties, une solution astucieuse pour gérer la love money Si la première option vous semble trop délicate ou incompatible au niveau fiscal, vous pouvez leur proposer d’investir directement dans votre entreprise en échange de royalties. Dans ce cas, ils vont avoir droit à un pourcentage prédéfini du chiffre d’affaires de votre entreprise, que vous allez céder pendant une période déterminée. Un peu comme un prêt mais beaucoup plus flexible car les remboursements dépendent du chiffre d’affaires effectivement réalisé. Vous pouvez faire appel à une solution clé-en-main d’investissement, comme celle proposée par WE DO GOOD. Les transactions, les contrats et les attestations fiscales et comptables sont automatiquement générés en ligne, pour vous, ainsi que pour vos investisseurs. Les BSA Air pour préserver la trésorerie Enfin, vous pouvez leur proposer d’investir via un BSA Air ou “bon de souscription d’actions – accord d’investissement rapide”. Dans ce cas, vos proches ne vont entrer au capital de votre entreprise qu’à la survenance d’un événement ultérieur, comme par exemple une levée de fonds future. Et c’est à ce moment-là que la valorisation sera déterminée. Ils ne récupèrent leur argent que lorsqu’ils céderont leurs actions, il faut donc qu’ils soient prêts à attendre un peu. En revanche, cela veut dire que vous allez probablement devoir intégrer ces personnes à votre capital à terme et qu’elles auront voix au chapitre lors de vos assemblées générales. Et vous devrez gérer leur sortie à un moment donné. Il convient pour cela de préparer dès l’émission des BSA Air le pacte d’associés. Un accompagnement par un avocat spécialisé est vivement recommandé pour ce type d’opérations. D’autres solutions sont possibles, par exemple, l’émission d’obligations convertibles en actions ou simplement l’augmentation de capital pure et simple, mais elles sont plus complexes à mettre en œuvre et/ou moins adaptées au tout premier stade de financement d’une entreprise et à la love money.  Si vous souhaitez approfondir le sujet, vous pouvez télécharger le guide sur la gestion de la love money. Vous pouvez aussi consulter le Livre blanc du Financement de l’amorçage, réalisé par WE DO GOOD en partenariat avec Estimeo.  Article rédigé par Susana Nunes, co-fondatrice de notre partenaire We do Good.  #lovemoney #startup #financement #wedogood #levéedefonds Chronique

Premiers pas d’Estimeo en Suède

Premiers pas d’Estimeo en Suède Premiers pas d’Estimeo en Suède La Suède a quelques longueurs d’avance en termes d’innovation européenne avec ses licornes emblématiques que nous connaissons bien comme Skype, Spotify, Klarna ou encore King, dont son jeu mobile le plus célèbre est Candy Crush. Véritable vivier de startups, Stockholm, à l’allure sereine est devenue la deuxième ville créatrice de licornes après San Francisco. Chambre de Commerce Suédoise en France & Estimeo Le partenariat entre Estimeo la Chambre de Commerce Suédoise en France a permis à Maud et Florian de rencontrer de nombreux acteurs de l’innovation : startups, investisseurs, leveurs de fonds… Un séjour baigné de soleil et de réflexions sur l’innovation. Le début de ce périple commence au French-Swedish Innovation Forum, une matinée d’échanges et de rencontres entre investisseurs européens, entrepreneurs franco-suédois et entreprises sur les meilleures pratiques en matière de financement, d’innovation et de croissance afin d’accroître les co-investissements franco-suédois et les coopérations en innovation. Un « tour de chauffe » pendant lequel Florian anime une table ronde autour du financement de l’innovation « Existe-t-il un mode de financement français, suédois ou européen de l’innovation et de la croissance ? ». Paul Christophe (Principal – Korelya Capital), Joseph Pinto (Global Chief Operating Officer – AXA Investment Manager), Ulrika Renstad (Business Development for Global Listings Services – Nasdaq Nordic), Anne Lidgard (Director- Vinnova) et Tatiana Shalalvand ( Investment Manager – Inventure) se réunissent pour donner des pistes de réflexions. Intervention de Florian Bercault, Président d’Estimeo à la table ronde Voici les grandes questions du débat : Dans quelles mesures les startups peuvent-elles « scaler » à l’étranger ? Avons-nous construit une communauté européenne du capital risque ? Faut-il avoir peur d’une bulle technologique ? Etes-vous confiants en l’avenir ? De nombreuses interrogations et quelques réflexions qui semblent tendre vers un consensus de la part des participants au débat. Il n’y a tout d’abord aucun doute sur le fait que l’internationalisation est essentielle pour la croissance des startups du vieux continent ; le monde de l’investissement européen semble collaborer. Difficile de parler de véritable bulle technologique, mais l’Europe rentre dans une période avec des valorisations de plus en plus hautes, ce qui incite à surveiller le marché de près. Une vision optimiste donc, qu’Estimeo a décidé de soutenir avec le Swedish-French Startup Hub pour promouvoir et renforcer les écosystèmes d’innovation suédois et français. Rencontre avec l’écosystème de l’innovation Cette visite nordique a également été l’occasion pour notre duo Estimeo de rencontrer l’écosystème de l’innovation, « nous avons été très bien accueillis partout où nous allions » précise Maud. Dans les rencontres marquantes, le co-fondateur de VOI, startup suédoise qui veux concurrencer les deux licornes américaines sur le même secteur des trottinettes électriques ainsi que la visite futuriste du showroom d’Erickson où la 5G est belle et bien réelle. Pour conclure, « des synergies sont à créer avec les différents acteurs (banques, incubateurs, investisseurs…) pour renforcer les liens entre les écosystèmes français et suédois de l’innovation. » affirment Maud et Florian. De gauche à droite : Florian Bercault, Président d’Estimeo et Douglas Stark, co-fondateur de VOI #suede #investissement #investisseur #internationalisation #startups Événement

Ponicode, pour une révolution industrielle du code informatique

Ponicode, pour une révolution industrielle du code informatique Ponicode, pour une révolution industrielle du code informatique “Le code est aujourd’hui au cœur de la société, utilisé partout et par tout le monde, même sans le savoir.” Patrick Joubert au sujet du développement informatique. Pour lui, il y a un réel enjeu autour de la manière de “coder”, une révolution des usages est nécessaire. Patrick veut aller à l’inverse de la tendance et bouleverser un élément capital de l’innovation. Il est temps pour ce milieu d’entamer sa révolution industrielle avec une intelligence artificielle qui comprend le code afin de faciliter le quotidien des développeurs. À l’issue d’une discussion avec un ami lui vient l’idée d’appeler sa future société Ponicode en référence aux “Licornes” européennes qui ne sont que trop souvent des “Pony-corn” n’allant pas au bout des possibilités.  Trouver La Clé De Voûte De l’Entrepreneuriat Patrick Joubert a toujours eu en lui la passion de l’entrepreneuriat et l’envie d’innover. À la suite d’une formation en pharmacologie, il se rend vite compte de ce qui l’anime vraiment. Il travaillera pendant 15 ans en tant que cadre technique dans des groupes banquiers au cœur de l’innovation du secteur. De part son expérience, il décrypte et identifie rapidement les signaux faibles et entrevoit rapidement les innovations qui en découlent. Patrick comprend les enjeux de l’innovation et de l’entrepreneuriat mais il lui manque l’aspect technique. Pour compléter son profil, il obtient un Executive MBA à HEC lui permettant de se perfectionner dans sa démarche entrepreneuriale. En travaillant avec NHS, il se rend compte des efforts faits pour améliorer les processus, mais que cela n’est peut-être pas la solution, pour lui il faut repenser les usages et non uniquement les outils. En 2011, il fonde Beamap, société de conseil spécialiste du cloud et rachetée en 2014 par Sopra Steria. L’année suivante, il créé Recast.AI, plateforme conversationnelle collaborative accessible aux développeurs pour créer des chatbots, acquise par SAP en janvier 2018. Fort de ces deux expériences, Patrick Joubert comprend tout l’intérêt d’allier intelligence conversationnelle et artificielle. De ce postulat, l’idée de Ponicode va germer dans son esprit. Ponicode est d’ailleurs la seconde entreprise de Patrick Joubert à rejoindre la communauté Microsoft AI Factory à Station F. Intégrée au programme de Microsoft, Recast.AI avait connu une véritable accélération dans sa dynamique de croissance et avait été la première à quitter la communauté AI Factory à la suite de son rachat par SAP en janvier 2018. L’Équipe Au Cœur Du Projet Une équipe compétente et investie dans le projet est ce qui fait la différence d’après l’entrepreneur. Dans des structures à taille humaine, chaque élément est différenciant et va donner une direction au projet. La problématique principale est de trouver des talents qui vont pouvoir entrer dans le projet en s’adaptant à son organisation. “L’un des moments qui définit la réussite d’un projet est la capacité à unifier et harmoniser l’équipe en prenant en compte les avis et l’expérience de chacun” nous confie-t-il. Patrick Joubert estime que pour obtenir une équipe efficace, il faut des profils complémentaires et venant d’horizons différents. Il est important d’accorder du temps à la bonne compréhension de chacun pour que les projets puissent évoluer plus loin et plus vite qu’en temps normal. Par ailleurs, en plus des compétences reconnues de chacun, Patrick a à cœur de recruter des jeunes qui ont une vision différente et complémentaire des usages. Ainsi, la plupart des talents qu’il recrute sortent d’écoles très reconnues comme l’école 42 de Xavier Niel. Les trois associés de Ponicode, Benedetta Dal Canton, Simon Guilliams et Edmond Aouad, sont d’ailleurs récemment diplômés de 42 et Centrale-Supélec. Article co-écrit par Florian Bercault et Jimmy Verger de Estimeo et Jean Rognetta. #investissement #levéedefonds #startup #valorisation Chronique

Performance Review #22 : Prof en Poche, They Stayed On The School Benches

Performance Review #22 : Prof en Poche, They Stayed On The School Benches Performance Review #22 : Prof en Poche, They Stayed On The School Benches Who has never spent several hours in front of a school assignment without understanding what was expected by the teacher? Between parents’ irritation and children’s exasperation, anarchy in the house quickly arrived when it comes to schoolwork! What parent would leave their dear cherubs in a total misunderstanding of their lessons? Very few, and that’s where Prof in Pocket comes in. In a nutshell. A teacher on request. Yes, tutoring solutions exist, but they remain ad hoc and are often constraining in addition to being a financial abyss. Prof en Poche is the first French-speaking virtual teacher, available on Facebook Messenger, iOS and Android. This digital pedagogical assistant allows students to effectively revise and do their homework on the medium they use most: the mobile. With a chatbot – discussion with artificial intelligence – available 24 hours a day and online teachers from 5pm to 9pm, high school students are supported in their academic careers and orientations. The team. They fell into the pot when they were little. At the head of this project are two brothers, Vincent and Paul. « We fell into education when we were kids, our parents started a tutoring school 35 years ago, » Vincent recalls. This fertile ground allows the two brothers to develop their parents’ concept: dogs do not make cats. The third partner in this great adventure, Samuel, trained at the Université Technologique de Compiègne, comes from a family of teacher-researchers in mathematics. For Vincent, choosing Samuel as a partner was obvious: « We had a great connection, he too had parents in teaching. Digital education was a hit and it’s an important brick to have such a brilliant CTO in a technology project like ours. Article to be found in full on Forbes Chronicle

Performance Chronicle #29: Flex-Sense OR Off-Road Sensors

Performance Chronicle #29: Flex-Sense OR Off-Road Sensors Performance Chronicle #29: Flex-Sense OR Off-Road Sensors Set on its rock, the Little Mermaid of the port of Copenhagen has her eyes fixed on the sea. Is she looking for her prince charming or is she observing the movements of her seafarers? Today in danger, the precious shells can be monitored not as in a children’s tale but by Flex-Sense technology. In a nutshell. The Oyster From the Beginning. Flex-Sense for flexibility and sensors, a name that perfectly reflects the activity of the young start-up company that offers remote telemetry for extreme environments. By extreme environment, we mean underwater environment or with large temperature ranges such as cold rooms or ore extraction quarries. All these sectors need to recover good quality data continuously. Flex-Sense has been developing adaptable technologies for « old trades » for more than three years now, says Emmanuel. The Problem. A Unrelenting Struggle. Oyster farming, a highly skilled profession, is at the heart of the agricultural activities of our coasts. However, during the summer season, oyster aquaculturists face a high mortality rate for their oysters. This mortality, which is very uneven between regions, does not affect the same categories of spat, making it difficult to analyse. In addition to this unresolved natural problem, oyster aquaculturists are constantly being robbed of their precious pearly shells. Only a few weeks ago, a looting of more than two tons of oysters took place on the island of Ré. For these oyster aquaculturists, who have hardly been spared, there are few solutions on the market apart from helicopter flights over crops or private guarding. Article to be found in full on Forbes. Chronicle

Monbanquet.fr, du pétrin au buffet

Monbanquet.fr, du pétrin au buffet Monbanquet.fr, du pétrin au buffet Pour notre Rencontre « Grow’up » du 16 octobre au Palais Brongniart, nous avons accueilli Maxime Renault, le CEO et co-fondateur de Monbanquet.fr. Maxime est revenu avec passion et grande sincérité sur son expérience entrepreneuriale et sur le chemin qu’il a parcouru pour lancer Monbanquet.fr. SOS, recherche boulangerie Tout a débuté alors que Maxime était encore étudiant. A la recherche d’une boulangerie dans un village du Sud de la France, il googlise sa recherche. Mais là aucun résultat n’apparaît.  L’idée vient donc de germer dans son esprit : proposer un référencement aux boulangeries françaises ! Alors étudiant à CentraleSupelec, Maxime, entre les cours, se déplace et va à la rencontre des artisans boulangers. Le but de ces rencontres ? Permettre aux boulangers d’augmenter leur visibilité sur internet et créer le premier annuaire des artisans boulangers. Ses premières tentatives ne sont pas un franc succès mais Maxime garde contact avec les boulangers rencontrés et apprend la réalité du « terrain ». La Boulangerie redore son blason En 2013, la boulangerie a de nouveau le vent en poupe avec l’émission de M6 « La meilleure Boulangerie de France » qui rassemble plus de 1,3 millions de téléspectateurs. Maxime se concentre alors sur les artisans qui ont participé à l’émission. Il contacte notamment le gagnant de l’émission qui vient de son village d’origine. Ce pari fonctionne et Maxime fait appel à des amis pour renforcer l’équipe. En 3 ans, entre les cours et les expériences à l’étranger, Maxime et sa bande contactent et référencent plus de 30 000 boulangeries. La force de cette équipe ? Sans aucun doute la ténacité !  En effet, bien des modèles économiques ont été essayés : évènements autour de la boulangerie, vente de pain aux FoodTech, plateforme de “click & collect” pour commander les produits boulangers en ligne… sans pour autant faire décoller le projet. Un appel et du pain sur la planche Un appel inattendu change la donne : une amie étudiante a besoin d’un buffet pour 300 personnes et le tout pour moins d’un euro par participant. Maxime saisit cette occasion et contacte les boulangers, précédemment référencés, implantés près de l’événement. Les artisans répondent à l’appel et proposent un buffet à moins d’un euro par personne. Une fois ce buffet prêt, Maxime et un ami enfourchent leur vélibs et partent livrer la commande. Avant de véritablement livrer cette commande, Maxime glisse des cartes de visites à l’intérieur des cartons traiteurs… Ce détail va permettre à Maxime d’être contacté pour l’inauguration du Numa. Peu à peu le bouche-à-oreille fait son effet, et les commandes arrivent. Monbuffet.fr vient de se créer avec un Google Form et des vélibs ! Encore étudiants, les amis dépensent beaucoup d’énergie pour faire décoller le projet et réalisent 100 000 € de chiffres d’affaires.  Le point noir de ce tableau ? Un fort engouement ! Plus d’une demande par jour est envoyée ; et les étudiants se retrouvent submergés de commandes. Monbanquet.fr, le pain béni En janvier 2016, devant cet afflux de commandes, la jeune pousse change de nom et devient Monbanquet.fr. Seulement 4 mois après sa création, une levée de fonds de 500 000 € est bouclée avec le Seed Club d’ISAI. L’équipe s’agrandit, se développe, le modèle économique se modifie au fil des commandes. Un an après la création de Monbanquet.fr, la barre des 100 commandes par mois est passée. L’année suivante, se sont plus de 300 commandes par mois qui sont passées en B2B ! Cette fulgurante ascension ne s’arrête pas en si bon chemin. Monbanquet.fr boucle sa seconde levée de fonds de 2,5 millions d’euros en mars 2018 auprès d’ISAI. Monbanquet.fr et son équipe ont gardé les valeurs qui leur tenait à cœur depuis les prémices du projet : s’appuyer sur le savoir-faire des artisans locaux ! Le pari est tenu, dans un premier temps, Maxime faisait exclusivement appel aux boulangers pour des buffets à moins de un euro par personne en proposant beaucoup de baguettes tradition garnies. Aujourd’hui, Maxime et son équipe sont soutenus par de nombreux artisans locaux : boulangers, pâtissiers, charcutiers, fromagers, traiteurs… Miam ! Un article rédigé par Estimeo. #chronique #investissement #investisseur #startup Chronique

Meet My Investor : retour sur cette 1ère édition de rencontre entre startups et investisseurs

Meet My Investor : retour sur cette 1ère édition de rencontre entre startups et investisseurs Meet My Investor : retour sur cette 1ère édition de rencontre entre startups et investisseurs Le 8 juin dernier, au Village by CA de Dijon, a eu lieu la 1ère édition de Meet My Investor, l’événement de rencontres startups et investisseurs en Bourgogne-Franche-Comté. L’accélérateur PMT Propulseur a fait appel à ToasterLAB, Les Docks Numériques et Estimeo pour l’aider à organiser cette journée dédiée à l’innovation locale. Entre rencontres professionnelles, sessions de pitchs et networking, retour sur cette 1ère édition ! Une journée marquée par des rencontres entre startups et investisseurs Le 8 juin dernier, l’accélérateur PMT Propulseur organisait la première édition de Meet My Investor aux côtés de ToasterLAB, Les Docks Numériques et Estimeo, avec le soutien de nos sponsors CIC et Caisse d’Epargne. Durant cette journée, 17 startups sélectionnées dans les secteurs des smart systems, des technologies de santé, de l’agrifood et du numérique et originaires de Bourgogne-Franche-Comté, étaient présentes : Fab’One, Cellaven, Amiroy, HuissOnline, Son Sas, MED’INN’Pharma, Genario, Meat B2B, Good Vie, Lymphobank, MedicoTech, mYXpression, YesWeLab, Farm3, No Monkey Business, PK21-5 et Ektah. Les startups sélectionnées ont fait l’objet d’une sélection des investisseurs et d’un matching de qualité pour rencontrer des investisseurs d’envergure nationale. Top chrono : 30 minutes en tête-à-tête avec les investisseurs pour pitcher leur projet et tenter de les convaincre ! Nous avons eu le plaisir de compter sur la présence des investisseurs régionaux et nationaux lors de cet événement : Made for all, High Flyers Capital, BFC Angels, Finovam Gestion, Femmes Business Angels, Financière Arbevel, Pléiade Venture, Hand Partners, Tomcat Capital et Turenne Santé. Découvrez l’avis de FAB’ONE sur cet événement, la startup qui développe Kaptrek, permettant de rassembler en un objet toutes les fonctions connectées pour la pratique des sports Outdoor : « The place to be en Bourgogne-Franche-Comté. Des rendez-vous qualifiés et pertinents par rapport à nos besoins » – Julien Fabre, co-fondateur et CEO de Fab’One. Carton plein pour les startups de la santé lors du concours de pitch L’après-midi a été rythmée par un concours de pitch durant lequel 9 startups sélectionnées ont pu présenter leur projet durant 3 min devant un jury d’experts et l’écosystème régional d’innovation. Les startups concouraient dans 3 catégories : Innovation de rupture, Société à impact et Coup de cœur. Durant cette session de pitch, 3 prix ont pu être remis à 3 startups du domaine de la santé : Le prix coup de cœur a été remis par Julien Hacquard du CIC à Cellaven et Julien Maruotti, startup qui automatise la culture cellulaire pour les laboratoires de R&D. Le prix société à impact a été remis par Marie-Hélène Juillard-Randrian de Dijon Métropole à MedicoTech et Siavoshe AYATI, startup spécialisée dans l’édition de logiciel dans le domaine médical, qui développe un moteur de recherche d’essais cliniques qui permet de trouver un essai clinique plus facilement. Le prix innovation de rupture a été remis par David Sarret de la Caisse d’Epargne Bourgogne-Franche-Comté à MED’INN’Pharma et Sylvain Perruche. La startup est spécialisée dans le développement de médicaments à base de sécrétome dérivé de cellules humaines pour soigner les pathologies liées à l’inflammation. La journée s’est clôturée avec tout l’écosystème régional de l’innovation qui a pu se réunir et continuer d’échanger lors du cocktail de networking de fin de journée. Après l’effort, le réconfort ! Article rédigé par Clémence Garnier, chargée de communication chez Estimeo. Événement