Chronique d’Effectuation #26 : Bouge Ta Boite : Bouge-Toi, Et Le Plafond De Verre Bougera

Chronique d’Effectuation #26 : Bouge Ta Boite : Bouge-Toi, Et Le Plafond De Verre Bougera Chronique d’Effectuation #26 : Bouge Ta Boite : Bouge-Toi, Et Le Plafond De Verre Bougera « Le prochain marché émergent, ce n’est pas la Chine, ni l’Inde, ce sont les femmes ». La citation préférée de Marie Eloy, fondatrice de Bouge ta Boite, illustre bien son mode de pensée. Dans l’élan féminin de recherche d’équilibre dans l’espace sociétal, elle fédère et accompagne les entrepreneures pour développer leurs entreprises grâce à son réseau business de recommandations afin de gagner en leadership et surtout en chiffre d’affaires. « Il existe un plafond de verre des entrepreneures, précise Marie, alimenté par le faible sentiment de légitimité qu’ont les femmes à prospecter et faire du business. Elles créent beaucoup d’entreprises qui ont du sens, mais maintenant le sens doit aller avec le business ». Le problème. Quelques statistiques Sur les 1000 personnes les plus médiatisées en 2018, 15,3 % sont des femmes. Le constat est encore plus alarmant lorsque nous nous focalisons dans la catégorie « grand patronat », où seulement 1 % des femmes font figure de représentation. En général, sur les entreprises de plus de 10 salariés, les femmes ne constituent que 14 % des chefs d’entreprise, d’après une étude de KPMG. Les femmes entrepreneures manquent donc cruellement d’exemples auxquels s’identifier. D’après un rapport de Séverine le Loarne, chercheuse à GEM, il est estimé que 20 % des femmes vivent correctement de leur entreprise contre 50 % des hommes, alors même que ceux-ci nécessitent de gagner plus d’argent que les femmes pour pouvoir considérer « en vivre ». Aussi, les femmes auraient plus tendance à chercher du sens et non de l’argent dans ce qu’elles entreprennent. Mais cela ne suffit pas à justifier l’écart, et force est de constater qu’elles éprouvent plus de difficultés à passer un cap de rentabilité et à se développer. Les conséquences ne sont pas qu’économiques mais aussi sociétales. Article Estimeo à retrouver en intégralité sur Forbes #investissement #investisseur #startup #valorisation Chronique

Chronique d’Effectuation #27 : Umòja, Une Histoire Sur Vos Baskets

Chronique d’Effectuation #27 : Umòja, Une Histoire Sur Vos Baskets Chronique d’Effectuation #27 : Umòja, Une Histoire Sur Vos Baskets La recherche de sens, d’impact et de relation humaine est de plus en plus prédominant dans notre société. Découle de cette recherche la prise de conscience d’une consommation peu responsable et peu respectueuse de l’environnement. De nombreuses marques tentent de redonner du sens à leur production à coup de matraquage publicitaire montrant des petits producteurs répartis aux quatre coins du monde. Mais alors qu’en est-il des projets passés sous les radars des consommateurs et qui luttent pour une consommation plus “propre” ? En deux mots. Sneakers culturelles. Umòja Shoes est un projet “solidaire, artistique, culturel et humain”. Autant de valeurs rassemblées dans un produit de consommation du quotidien, une paire de sneakers. La création de la marque est basée sur des produits naturels africains issus de l’agriculture biologique. Oubliez la production de masse de coton et place aux fibres naturelles produites par de petites communautés africaines au grand savoir-faire. Pour remplacer le traditionnel cuir des chaussures, Umòja utilise de l’écorce d’arbre retravaillée manuellement, processus considéré par l’UNESCO comme “le plus vieux savoir-faire humain en matière de textile”. Des matériaux peu connus par les consommateurs qui donnent aux sneakers toute leur personnalité et histoire : fibres de bananier, de raphia et tissages traditionnels vous feront découvrir la dextérité de l’artisanat africain. Idée. Retour aux sources. Dieuveil, étudiant en master de droit se rapproche de plus en plus de la fin de ses études sans avoir l’intime conviction de se lancer dans la bonne voie. En début de recherche de poste, Dieuveil a une révélation “je ne voulais pas évoluer dans cette sphère élitiste du Droit, je souhaitais trouver de l’humain dans mon quotidien”. Sans plus attendre, le jeune étudiant brestois arrête ses études et devient bénévole au Secours Populaire. A la suite de son expérience de bénévolat, Dieuveil voyage en Afrique pour revoir ses proches et les paysages de son enfance. Alors en Côte d’Ivoire et au Bénin, il découvre “un artisanat africain très riche que l’on ne retrouve pas en Europe”. De ce voyage, l’idée d’exporter ces savoir-faire peu répandus pour créer de nouvelles alternatives grandit. Article Estimeo à retrouver en intégralité sur Forbes #investissement #investisseur #startup #valorisation Chronique

Chronique D’Effectuation #24 : ATAWA, La Révolution De L’Evénementiel

Chronique D’Effectuation #24 : ATAWA, La Révolution De L’Evénementiel Chronique D’Effectuation #24 : ATAWA, La Révolution De L’Evénementiel “Nous devons considérer que tous les événements qui nous arrivent sont des événements heureux” formule le dramaturge Sacha Guitry. Plus facile à dire qu’à vivre. Toute la réussite de l’événement que vous préparez depuis des mois maintenant repose sur les épaules de vos prestataires. Un retard de livraison, un quiproquo ou une incompréhension… et le drame arrive. Votre événement tombe à l’eau et vous ne savez plus qui contacter. En deux mots. Pas de place aux aléas. Tout a débuté avec Aymeric et Maxime, un entrepreneur et un financier, qui se lancent dans l’évènementiel. Ils partent d’un constat simple : pour organiser un événement, il faut faire appel à une multitude de prestataires qu’il faut gérer individuellement et indépendamment. ATAWA ne laisse pas place aux aléas grâce à son service d’infrastructures événementielles. L’infrastructure comprend : tentes, stands d’exposition, mobilier, éclairage, sonorisation, sanitaires, décoration et besoins en énergie. La startup centralise tous vos besoins en infrastructure et devient ainsi votre intermédiaire unique. Le problème. Acteurs fragmentés et frustration assurée. En quelques coups de téléphone avec des amis chefs de projet événementiels, Aymeric et Maxime comprennent qu’il existe une frustration systématique entre les clients et les prestataires événementiels notamment quand il s’agit de louer des structures et du matériel événementiels. Dans l’écosystème de l’événementiel, le problème est double. D’un côté, le client lambda, qui n’a jamais commandé de tentes ou de sanitaires, est déboussolé. D’autant plus que ce milieu est régi par une multitude de PME aux compétences et prix très hétérogènes. De l’autre côté, les prestataires ne communiquent que peu efficacement sur leurs offres. « Leurs sites ne sont pas clairs, ils ne sont pas bons commerciaux et il n’y a pas de garanties quant à la satisfaction client » nous confie Aymeric. Le consommateur est donc perdu, et le bon prestataire est quant à lui noyé dans la masse. Et rapidement un phénomène économique d’antisélection fruit d’asymétries d’information apparaît, tel le marché d’occasion automobile modélisé dans les années 70 par le Nobel Akerlof dans son article “The Market for “Lemons”. L’idée. Une pierre, deux coups. Une solution pour deux problèmes : d’un côté, aider les PME offrant des services de location d’infrastructures événementielles à augmenter leur volume d’affaires, et de l’autre accompagner, conseiller et sélectionner les meilleurs partenaires pour ses clients. A la différence d’une place de marché, ATAWA ne cherche pas à se décharger de sa responsabilité. Au contraire, la startup se positionne comme une marque à part entière, responsable du bon déroulement de l’événement et de la satisfaction de ses clients. Article Estimeo à retrouver en intégralité sur Forbes. #investissement #investisseur #startup #valorisation Chronique

Chronique d’Effectuation #23 : Cuvée Privée, Rendre Au Vin Sa Valeur Symbolique

Chronique d’Effectuation #23 : Cuvée Privée, Rendre Au Vin Sa Valeur Symbolique Chronique d’Effectuation #23 : Cuvée Privée, Rendre Au Vin Sa Valeur Symbolique Tendance ou réelle prise de conscience, le retour au terroir a le vent en poupe. Un retour à la terre bien souvent accompagné de la volonté de connaître les producteurs et leurs histoires. Qui ne serait pas tenté de participer d’une manière ou d’une autre à la production de ce qu’il consomme ? Nous pouvons déjà adopter une poule et recevoir ses œufs, ou louer des parcelles de potager pour bénéficier de légumes. Pourquoi ne pas réitérer cette expérience de personnalisation des produits pour la vigne ? En deux mots : Adopter c’est essayer Proposer aux amateurs de vin d’adopter des vignes dans un domaine d’exception afin de recevoir un cru de grande qualité dans une bouteille personnalisée à leur nom. Ce concept de Cuvée Privée veut à la fois offrir une expérience unique de dégustation de vin mais aussi rapprocher le consommateur souvent néophyte avec le producteur. Ce rapprochement n’est pas que logistique ! En plus d’une fiche technique sur les vignes parrainées, une invitation est offerte au client pour se rendre sur place et apprendre à connaître personnellement le vigneron, son histoire et celle de son vin. L’idée. En ce temps-là j’avais vingt ans… Marie, Aurélie et Morgane se rencontrent à l’association d’œnologie d’HEC. Aurélie nous confie « c’est lors d’un des événements du Club que l’on a réalisé qu’en mettant un vigneron et une histoire derrière la bouteille, le vin prend tout son sens ». Alors en dernière année de leur master Entrepreneuriat, les trois étudiantes décident de concevoir un projet qui se recentre sur cette relation conviviale. Marie, Aurélie et Morgane ont su mettre en commun leurs différentes personnalités et appétences pour le monde du travail autour de ce projet : Marie, fille de vigneron, pour la relation avec les vignerons et la gestion du catalogue, Aurélie pour la finance et le business développement, et Morgane pour le produit et le marketing. Article Estimeo à retrouver en intégralité sur Forbes #investissement #investisseur #startup #valorisation Chronique

Chronique d’Effectuation #22 : Prof En Poche, Ils Sont Restés Sur Les Bancs De L’Ecole

Chronique d’Effectuation #22 : Prof En Poche, Ils Sont Restés Sur Les Bancs De L’Ecole Chronique d’Effectuation #22 : Prof En Poche, Ils Sont Restés Sur Les Bancs De L’Ecole Qui n’est jamais resté plusieurs heures devant un devoir scolaire sans comprendre ce qui était attendu par le professeur ? Entre énervement des parents et exaspération des enfants, l’anarchie dans la maison est vite arrivée lorsqu’il est question de devoirs scolaires ! Quel parent laisserait ses chers chérubins dans une incompréhension totale de leurs cours ? Très peu, et c’est sur ce point qu’intervient Prof en Poche. En deux mots. Un prof sur demande. Oui, des solutions de soutien scolaire existent, mais elles restent ponctuelles et sont bien souvent contraignantes en plus d’être un gouffre financier. Prof en Poche est le premier professeur virtuel francophone, disponible sur Facebook Messenger, iOS et Android. Cet assistant pédagogique digital permet aux élèves de réviser efficacement et de faire leurs devoirs sur le support qu’ils utilisent le plus : le mobile. Avec un chatbot – discussion avec une intelligence artificielle – disponible 24h/24 et des professeurs en ligne de 17 heures à 21 heures, les collégiens et lycéens sont accompagnés dans leurs parcours scolaires et leurs orientations. L’équipe. Ils sont tombés dans la marmite quand ils étaient petits. A la tête de ce projet deux frères, Vincent et Paul. “On est tombé dans l’Éducation lorsqu’on était petits, nos parents ont monté une école de soutien scolaire il y a 35 ans”, rappelle Vincent. Ce terreau fertile permet aux deux frères de développer le concept de leurs parents. Les chiens ne font pas des chats. Le troisième associé de cette belle aventure, Samuel, formé à l’Université Technologique de Compiègne, vient d’une famille d’enseignants-chercheurs en mathématiques. Pour Vincent, choisir Samuel comme associé était une évidence: “On a super bien accroché, lui aussi a des parents dans l’enseignement. L’éducation numérique ça le bottait et c’est une brique importante d’avoir un CTO aussi brillant au sein d’un projet technologique comme le nôtre”. Article Estimeo à retrouver en intégralité sur Forbes #chronique #investissement #startup #valorisation Chronique

Chronique D’Effectuation #20 : Gatling, S’Armer Face A La Montée En Charge

Chronique D’Effectuation #20 : Gatling, S’Armer Face A La Montée En Charge Chronique D’Effectuation #20 : Gatling, S’Armer Face A La Montée En Charge Votre équipe Tech développe depuis plusieurs mois maintenant la nouvelle version de votre site spécialement conçue pour les soldes qui arrivent à grands pas. Trois, deux, un… lancement live le jour J ! Victime de son succès, votre site ne résiste pas aux milliers d’utilisateurs se ruant sur les bonnes affaires. C’est la panique côté Tech et bientôt le crash du site. Patatras… adieu veau, vache, cochon, couvée ! En deux mots. Eviter le crash. Pour éviter ce genre de situation dramatique, Gatling offre la possibilité de tester la robustesse des applications en simulant les moments les plus critiques. Le co-fondateur Paul-Henri nous confie : “c’est comme un coach sportif, on prépare les applications à tenir des charges très importantes pour qu’elles ne craquent pas au 100 mètres, c’est-à-dire des événements comme le Black Friday ou le lancement d’un nouveau produit ou service.” L’équipe. Le bon viseur. A l’origine de Gatling, Stéphane Landelle, ingénieur nucléaire reconverti dans le Web alors en plein boom. En travaillant dans les grands groupes, Stéphane ne trouve pas d’outils adaptés aux nouveaux enjeux du web et à l’explosion des audiences. Comme tout Tech qui se respecte, Stéphane commence donc à développer son propre outil avant de rencontrer en 2014 le binôme qu’il lui fallait : Paul-Henri. Paul-Henri, qui se définit comme un “touche à tout”, s’oriente naturellement vers le monde des startups après ses études à HEC. Pour lui, au départ, Gatling était un “projet super intéressant mais qui n’a pas du tout été pensé pour être monétisé”. Même s’il ne connaît pas du tout le monde du développement logiciel, l’idée trotte dans sa tête quelques temps jusqu’à ce qu’il se décide à relever le défi de l’impossible. “La société Gatling est née d’un pari un peu fou : mettre deux personnes avec des profils qui n’ont rien à voir pour valoriser un projet à très forte valeur technologique ajoutée.”. Quatre ans plus tard, Gatling est composé de 7 collaborateurs. Les deux co-fondateurs Stéphane et Paul-Henri respectivement CTO et CEO sont accompagnés d’une équipe de quatre Techs et d’un directeur commercial. Paul-Henri nous explique que les développeurs de Gatling sont “au four et au moulin” et très concernés par le projet. Il n’est pas rare en effet de voir ses développeurs au contact des clients et de revêtir les habits de commerciaux . Article Estimeo à retrouver en intégralité sur Forbes #investissesment #startup #chronique #investisseur #levéedefonds Chronique

Chronique D’Effectuation #21 : Kaiko, Expédition Pour Des Données Crypto

Chronique D’Effectuation #21 : Kaiko, Expédition Pour Des Données Crypto Chronique D’Effectuation #21 : Kaiko, Expédition Pour Des Données Crypto L’exploration des fonds marins les plus profonds reste mystérieuse pour la plupart d’entre nous. Sombres, quasi inconnues et remplies de risques, les failles océaniques ont été explorées grâce à des technologies de plus en plus puissantes. Un univers à la fois fascinant et inquiétant, dont la faille la plus profonde, Challenger Deep, au fond de la fosse des Mariannes, a pu enfin être explorée par le sous-marin Kaiko. Ce submersible japonais est le premier à être revenu avec des données scientifiques exploitables par l’homme. En deux mots. Crypto et Data. A l’image de ces expéditions marines, la récupération de données de qualité sur les cryptomonnaies, ou “actifs digitaux” s’avère être une véritable odyssée. Kaiko, comme le sous-marin des grandes profondeurs, œuvre depuis 2014 à collecter, normaliser et distribuer aux acteurs du marché de la blockchain, les données de ce monde émergent et aux frontières mouvantes. Bitcoin, Ethereum, Litecoin, Monero,… des monnaies digitales qui s’échangent sur des places de marché et dont le trading génère une quantité immense de données à traiter pour Kaiko, qui couvre actuellement plus de 12 000 paires d’actifs. L’équipe. Savoir renaître tel le phoenix. L’équipe de Kaiko a connu deux vies. 2014–2017 avec Pascal Gauthier, et 2017 à maintenant, avec Ambre Soubiran. Mathématicienne diplômée de Dauphine, Ambre débute sa carrière chez HSBC où elle travaillera 10 ans sur le marché des Equity Derivatives. Ambre ou “ Madame Bitcoin ” avait un parcours pourtant tout tracé dans le monde de la finance mais en 2015, elle rencontre Pascal Gauthier, ancien COO de Criteo et fondateur originel de Kaiko. Instantanément, elle s’intéresse au projet. En 2017, Pascal propose à Ambre de reprendre, ou plutôt de redresser, Kaiko en “quasi faillite car trop en avance sur son temps ”. En effet, le marché entre 2014 et 2016 n’était pas encore tout à fait mature et “les investisseurs institutionnels ne s’intéresseraient pas à cette nouvelle classe d’actifs ”. Pascal, lui, est appelé vers une autre mission : il rejoint Ledger, une autre startup dans la blockchain dont il est également actionnaire, en tant que Président-directeur général. Re-partant de pratiquement-zéro avec une plateforme fonctionnelle et un stock de données historiques, Ambre s’entoure de deux développeurs pour déployer le potentiel de Kaiko. Erik Fonselius et Robert Edström, deux Suédois respectivement spécialisés en Big Data et en Cryptographie / Blockchain, rejoignent l’aventure “Kaiko 2.0” à ses débuts. Aujourd’hui basée à Paris, l’équipe de choc est composée de 11 personnes, dont 7 ingénieurs, et 3 personnes côté business. Article Estimeo à retrouver en intégralité sur Forbes #startup #investissement #valorisation #chronique #investisseur Chronique

Chronique D’Effectuation #2 : Yoyo Ou La Naissance D’Un Mouvement Perpétuel

Chronique D’Effectuation #2 : Yoyo Ou La Naissance D’Un Mouvement Perpétuel Chronique D’Effectuation #2 : Yoyo Ou La Naissance D’Un Mouvement Perpétuel C’est ainsi que se définit Yoyo, la startup spécialisée dans le recyclage plastique. Et il y en a des objets plastique à consigner ! Armée seulement d’une plateforme digitale et d’un système de récompense des comportements du tri, elle s’attaque à la valorisation des déchets plastiques de la population urbaine. D’après la Banque mondiale, cette niche représente plus de 4 milliards d’individus en 2016. Et ce n’est pas tout ! Loin de se contenter de la simple collecte, elle entend faire de ces trieurs urbains, qui recyclent à peine 10% de leur consommation plastique, des utilisateurs modèles. Leur ambition est d’atteindre « 100 % » et de rendre neutre l’empreinte écologique des villes. En deux mots. Une « consigne collaborative ». À sa tête depuis 2016, son fondateur Eric Brac de la Perrière nous raconte comment en à peine un an et demi, Yoyo projette d’employer 15 personnes et de générer un chiffre d’affaires de €1,5 millions. Elle a aussi réussi à attirer à son capital un poids lourd du secteur, Véolia, qui détient 20% du capital ; et des stars du monde du monde des affaires, Philippe Oddo et Philippe Varin… Article Estimeo à retrouver en intégralité sur Forbes #chronique #investissement #investisseur #startup Chronique

Chronique d’Effectuation #14 : MYRE, Quand La Pierre Devient Intelligente

Chronique d’Effectuation #14 : MYRE, Quand La Pierre Devient Intelligente Chronique d’Effectuation #14 : MYRE, Quand La Pierre Devient Intelligente Depuis quelques mois, nous assistons à l’essor prudent de la proptech. L’industrie de l’immobilier reste tout de même en retard face à la transformation digitale. Des villes entières de données immobilières sont gérées à partir d’outils peu flexibles ou de tableurs. Alors que c’est le grand chambardement dans l’ensemble de l’économie, c’est au tour de cet îlot de stabilité de profiter de l’innovation. Ce virage est en tout cas l’objectif de la startup dont on parle aujourd’hui, MYRE. En trois mots. Pierre-Papier-SaaS MYRE, à prononcer « maïri » pour « MY Real Estate », offre un outil aux asset managers pour optimiser le pilotage de leurs actifs. Leur plateforme collaborative « développée par le métier pour le métier » sur le cloud est portée par quatre co-fondateurs et s’adresse à la gestion d’actifs tertiaires (bureaux, entrepôts, commerces…). Avec dans le viseur depuis 2017 un marché européen de plus d’un milliard d’euros, la startup référence déjà plus de 700 000 m² d’actifs sur sa plateforme et promet à ses clients un gain de temps de 30 % en moyenne sur l’activité de gestion. Article Estimeo à retrouver en intégralité sur Forbes #chronique #investissement #investisseur #startup Chronique

Chronique d’Effectuation #13 : Poétique, Espoir Rock Dans Une Mode Punk

Chronique d’Effectuation #13 : Poétique, Espoir Rock Dans Une Mode Punk Chronique d’Effectuation #13 : Poétique, Espoir Rock Dans Une Mode Punk 1967. Les Beatles sortaient l’emblématique Sergent Lonely Heart Club band. Johnny était l’idole des jeunes. Gainsbourg et Brigitte Bardot s’aimaient avec style. Ah, le rêve et la nostalgie de l’insouciance des yéyés… Mais voilà, le monde a bien changé. Ou plutôt, nous avons perdu la naïveté avec laquelle nous le regardions. Quand nous réécoutons les Beatles, nous pensons séparation et disparition. L’image de la gloire de Johnny est remplacée par une querelle sordide sur sa succession. Et si l’idylle éphémère et flamboyante de Gainsbourg et BB a gardé son charme, elle n’a pas empêché leur décadence. Le monde chantant du Livre de la Jungle est maintenant celui du réchauffement climatique, du renforcement des inégalités et des violences des communautarismes. Dans ce même désenchantement, la cause animale nous interdit de porter les mêmes oripeaux que les stars des années 1960. Un perfecto à la James Dean a beau vous donner un look du tonnerre, difficile de passer à côté de la souffrance nécessaire pour obtenir tout ce cuir, sauf pour Poétique Paris. En deux mots. “Esthétique respectueuse” n’est pas un oxymore. Notre sombre présent marquera-t-il la fin du blouson noir ? Pas s’il faut en croire Pauline Weinmann et Cattleya Malejac, les fondatrices de Poétique Paris. La startup se positionne comme la première maison de mode proposant une alternative végane au cuir. Leurs perfectos, pantalons, jupes et shorts sont faits à partir de cuir de céréales et de cuir de pomme. Créée en 2017, la start-up est victime de son succès. Article Estimeo à retrouver en intégralité sur Forbes. #chronique #investissement #investisseur #startup Chronique