Comment valorise-t-on une startup ? Le guide d’Estimeo

Comment valorise-t-on une startup ? Le guide d’Estimeo Comment valorise-t-on une startup ? Le guide d’Estimeo La valorisation d’une startup est un véritable casse-tête pour beaucoup. Avec une multitude de méthodes disponibles et une volatilité inhérente à la nature même des startups, comment s’y retrouver ? C’est là qu’Estimeo intervient. S’appuyant sur une combinaison de méthodes théoriques et d’observations du marché, Estimeo propose une approche innovante et pratique. Voici un aperçu détaillé de cette méthode de valorisation. La valorisation, qu’est-ce que c’est ? La valorisation d’une entreprise est la représentation de sa valeur financière actuelle sur le marché. Pour les startups, cette valorisation reflète à la fois leur performance actuelle et leur potentiel futur.  La valorisation d’une startup peut être réalisé pour différentes raisons telles que :  La préparation d’une levée de fonds : une valorisation juste et précise permet de déterminer la part de l’entreprise que les fondateurs sont prêts à céder en échange d’un financement.  Une cession de parts ou un rachat : la valorisation va aider à fixer un prix équitable pour les parties impliquées. Elle permet ainsi d’assurer une transaction juste, que ce soit pour les fondateurs, les investisseurs actuels ou les acheteurs potentiels. Pour connaître la valeur de la startup sur son marché : la valorisation va permettre d’identifier les forces et les faiblesses sur son marché et ainsi permettre aux startups d’ajuster leur stratégie et d’améliorer leur positionnement dans un environnement concurrentiel. Les fondateurs, les investisseurs et les partenaires financiers s’appuient sur cette valorisation pour prendre des décisions éclairées. Une valorisation bien fondée et réaliste peut jouer un rôle déterminant dans le succès à long terme de l’entreprise. La spécificités des startups SaaS Les startups SaaS (Software as a Service) représentent un segment dynamique et en constante évolution dans l’univers de startups technologiques. Elles se démarquent par leur modèle économique attractif, alliant scalabilité, revenus récurrents et marges bénéficiaires avantageuses. Par conséquent, leur valorisation tend à être plus élevée, ce qui les rend particulièrement attrayantes pour les investisseurs. Néanmoins, il est important de noter que cette valorisation élevée s’accompagne de son lot de défis spécifiques à savoir la nécessité de maintenir une croissance continue et de gérer efficacement l’acquisition et la rétention des clients.  Une valorisation basée sur différentes méthodes Alors que diverses méthodes théoriques de valorisation existent, la réalité est que, surtout pour les startups en phase initiale, la valorisation dépend largement des négociations. Chez Estimeo, plusieurs méthodes sont utilisées pour guider ces négociations. Nous nous basons sur deux catégories de méthodes pour évaluer votre startup et déterminer avec précision son risque et son potentiel sur son marché  : Les méthodes extra-financières : Comparative Market : cette approche est utilisée pour évaluer la valeur d’une startup lors d’un tour de financement. Cette méthode détermine des plafonds et planchers de valorisation, représentant respectivement les valeurs maximales et minimales qu’un investisseur est généralement prêt à investir dans une startup pour ce tour de financement. Ces valeurs sont continuellement ajustées par Estimeo, une plateforme d’évaluation. L’évaluation finale est calculée en fonction du score obtenu par la startup. Ce score est comparé à des valeurs de référence pour déterminer une valorisation située entre le plafond et le plancher. La méthode s’appuie également sur la comparaison de la startup avec d’autres entreprises similaires en termes de chiffre d’affaires, résultats, nombre d’utilisateurs… Scorecard : elle est utilisée principalement pour les startups en phase précoce. Elle implique la comparaison de la startup avec des entreprises similaires pour établir une valorisation de base. Cette valorisation est ensuite ajustée en fonction de plusieurs facteurs clés, tels que l’équipe, le Time to market, la taille du marché, l’innovation, et d’autres critères, chacun ayant une pondération spécifique. La valorisation finale est calculée en fonction de ces ajustements, reflétant le positionnement de la startup par rapport aux entreprises comparables. Bien que cette méthode offre un cadre structuré pour l’évaluation, elle présente des limites, notamment la subjectivité dans l’évaluation de certains facteurs et le manque potentiel d’informations détaillées sur les entreprises comparées.  Berkus : cette approche extra-financière permet d’évaluer la valorisation d’une startup, en se concentrant sur cinq piliers clés : l’idée de base, un prototype, une équipe de gestion de qualité, des relations stratégiques et le déploiement du produit ou des ventes. Chaque pilier reçoit une note entre 0 et 1, et en fonction de cette note, un certain nombre de crédits est attribué à chaque pilier. Si la note est en dessous d’un seuil prédéfini, aucun crédit n’est accordé, alors qu’une note supérieure à un seuil élevé reçoit le crédit complet. La valorisation finale est la somme de ces crédits, multipliée par la valeur attribuée à un crédit, qui varie en fonction de la maturité de la startup. Cette méthode permet d’évaluer de manière holistique les différents aspects clés d’une startup, allant de son idée et prototype jusqu’à son équipe et stratégie de croissance. Step-up : cette méthode de valorisation se base sur le développement de la startup. Elle prend en compte des facteurs évaluant autant le risque global que des variables appréciant le plein potentiel de création de valeur de la startup comme par exemple, le « burn rate » : à quelle vitesse brûlez-vous vos capitaux ?, ou encore l’équipe fondatrice et sa vision. Cette méthode est principalement adaptée aux sociétés très jeunes (pré-seed et seed). Les méthodes financières : Dilutive : cette méthode de valorisation repose sur deux principaux critères : d’une part, le montant des fonds que l’entrepreneur souhaite lever pour financer ses besoins en fonds propres pour les 12 à 24 prochains mois, et d’autre part, un taux de dilution standard calculé par Estimeo en utilisant sa note algorithmique et des données de marché de la startup. Bien que cette méthode ait un faible impact sur la valorisation finale, elle reste pertinente car elle permet de comparer l’attractivité de l’entreprise en termes de risque et de potentiel par rapport à l’ensemble du marché des startups, tout en situant la valorisation dans le contexte plus large du financement de l’innovation. DCF (Discounted Cash Flow) : elle se base sur l’évaluation

Comment structurer un plan de financement d’amorçage

Comment structurer un plan de financement d’amorçage Comment structurer un plan de financement d’amorçage Vous venez de lancer votre startup mais vous ne savez pas trop comment vous y prendre en ce qui concerne le financement ? On entend souvent parler de levée de fonds, mais on oublie que ce n’est pas du tout la première étape d’un plan de financement. Voici les étapes-clés à prévoir pour un démarrage sur de bonnes bases financières. Identifier les financements spécifiques à votre projet Dans un premier temps, pensez à cartographier les financements auxquels vous pouvez prétendre et à identifier les conditions d’éligibilité. Vous pouvez vous rapprocher d’acteurs locaux comme la CCI afin d’identifier les potentiels financements spécifiques à votre territoire.  Il peut également y avoir des financements spécifiques sur certains sujets (entrepreneuriat féminin, entrepreneuriat à impact, entrepreneuriat dans les quartiers prioritaires…). Vous pouvez également utiliser un moteur de recherche comme Finalgo  ou Finrêka ! afin d’identifier en amont les financements adaptés. Augmenter vos fonds propres La confiance est la base de tout financement : un financeur ne vous suivra que s’il a confiance en votre projet. Plus tard, cette confiance sera basée sur vos KPI, vos indicateurs de performance, mais au début vous n’en avez pas. Les financeurs d’amorçage vont plutôt vous demander quel est le montant de vos fonds propres (le capital disponible pour le développement de l’entreprise) et vous proposer de les doubler. Pour augmenter vos fonds propres, vous avez plusieurs possibilités : mettre personnellement de l’argent dans l’entreprise : il faut un minimum de votre poche, cela est une preuve de votre engagement mobiliser votre love money, de préférence en royalties ou BSA afin de ne pas diluer votre capital trop tôt obtenir un prêt d’honneur : prêt accordé à vous personnellement en mis ensuite en compte-courant d’associé ou au capital (mais le montant accordé est adossé à votre niveau de fonds propres) Faire du chiffre d’affaires Avant de solliciter d’autres financeurs, testez votre produit et commencez à faire du chiffre d’affaires. Même si vous ne signez qu’un seul client, cela sera un facteur générateur de confiance supplémentaire face à de potentiels financeurs. Si vous commercialisez des produits en B2C, c’est probablement le moment de préparer une campagne de crowdfunding en prévente. C’est LE moyen le plus efficace pour tester votre marché et votre communication, pour commencer à construire votre communauté, ainsi que pour faire effet de levier pour obtenir des financements supplémentaires. Certaines banques l’exigent désormais pour ce type de projets. Bien entendu, cette étape n’est pas toujours possible pour les projets qui demandent de longues phases de R&D ou des investissements conséquents dès le démarrage. Débloquer des financements non-dilutifs Après avoir augmenté vos fonds propres et validé votre proposition de valeur en réalisant votre premier chiffre d’affaires, vous serez en mesure de faire effet de levier et de débloquer d’autres financements. C’est le cas des prêts bancaires, des prêts d’honneur et des subventions, comme celles accordées par Bpifrance en amorçage. Si vous effectuez une campagne de financement participatif en contreparties ou royalties, vous pouvez anticiper cette étape et prendre contact en amont avec une (ou plusieurs) banque(s), ainsi que Bpifrance si vous avez un projet innovant, afin d’obtenir un pré-accord en cas de réussite de campagne. Un des avantages c’est que vous serez en mesure de communiquer sur ce pré-accord pendant votre campagne de crowdfunding, ce qui permettra d’avoir un effet de levier dans le sens inverse : vos potentiels contributeurs seront rassurés de savoir que d’autres financeurs sont prêts à suivre en cas de réussite. C’est également le moment de faire appel aux financements locaux ou spécifiques à votre projet initialement identifiés, ainsi qu’aux prêts d’honneur (Réseau Entreprendre, Initiative, Wilco…). Préparer la suite Bien enchaîner les précédentes étapes vous permettra de disposer d’un financement vous permettant de lancer sereinement votre activité et de commencer à bien valider vos indicateurs-clé de performance (les fameux KPI). Cela sera indispensable pour lancer un nouveau tour de financement auprès de ces financeurs ou une levée de fonds en capital.  Cela ne veut pas dire que la question du financement est mise en pause pendant quelques mois, au contraire, vous devez toujours la garder à l’esprit : tenez vos financeurs au courant de vos avancées et de vos actualités. Lorsque vous aurez besoin d’eux, ce sera beaucoup plus simple ! Lorsque votre entreprise commence à tourner, que vous avez bien mesuré combien cela vous coûte d’obtenir un lead, de le transformer en client, et combien de temps cela prend, vous pouvez envisager une levée de fonds plus conséquente pour accélérer. Des acteurs comme Estimeo pourront vous aider à évaluer vos KPI afin de valoriser votre entreprise à sa juste valeur. Si vous êtes sur un projet innovant, vous devez par ailleurs comptabiliser le temps passé en innovation, ainsi que les dépenses directement liées, afin que vous puissiez les convertir l’année suivante en CII (Crédit d’Impôt Innovation) ou CIR (Crédit d’Impôt Recherche). N’hésitez pas à vous faire accompagner par un expert, souvent rémunéré à la commission sur le crédit d’impôt obtenu. Cela vous permettra de gagner du temps car la procédure de demande est assez fastidieuse. Quel intérêt de faire appel à plusieurs financeurs ? Vous pouvez vous dire pourquoi passer par toutes ces étapes plutôt que par un seul financeur et c’est une très bonne question ! C’est clair que cela demande pas mal de temps, du temps qui n’est pas consacré au développement de l’activité. D’abord, c’est très difficile (voire impossible) de trouver un financeur prêt à prendre le risque de couvrir l’intégralité du besoin de financement. On se retrouve d’ailleurs parfois dans des situations compliquées où tout le monde s’attend : Bpifrance attend que le Réseau Entreprendre s’engage, le Réseau Entreprendre attend que la banque s’engage, la banque attend qu’un des précédents s’engage… pas évident ! Ensuite, plus vous avez des financeurs qui vous suivent, plus vous avez des ressources mobilisables : lors d’un moment compliqué, si vous en avez besoin, ce sera beaucoup plus facile de convaincre un

Comment réussir son Pitch Deck : le guide ultime d’Estimeo

Comment réussir son Pitch Deck : le guide ultime d’Estimeo Comment réussir son Pitch Deck : le guide ultime d’Estimeo Les entrepreneurs du monde entier savent à quel point un bon pitch deck peut être décisif pour le succès d’une startup. Alors, comment être sûr de marquer les esprits dès la première diapositive ? Estimeo, après avoir examiné des milliers de pitch decks, vous livre ses secrets. Préparez-vous à prendre des notes ! Pourquoi le Pitch Deck est-il votre arme secrète ? Un pitch deck est bien plus qu’un assemblage de diapositives. C’est votre opportunité en or pour séduire, convaincre et faire vivre votre vision à vos interlocuteurs. En termes simples, c’est comme un premier date : vous voulez faire bonne impression dès le départ ! Structure d’un Pitch Deck infaillible L’Accroche. Imaginez un écran de cinéma, un début de film captivant. Votre pitch deck doit commencer de la même manière. Une statistique choc ou une affirmation audacieuse fera l’affaire. Le Problème. Si vous étiez un médecin, ce serait votre diagnostic. Quel est ce grand défi que vous souhaitez relever ? La Solution. Voici où vous présentez votre remède magique. Comment votre produit ou service résout-il ce problème ? La Traction. Il ne suffit pas d’avoir une idée brillante. Les investisseurs veulent voir que d’autres y croient aussi. Valeur Ajoutée et Business Model. Pourquoi vous et pas un autre ? Et comment comptez-vous transformer cette innovation en machine à cash ? Marché, Équipe, Finances. Qui sont vos alliés dans cette aventure ? Comment se porte le terrain de jeu ? Et quel est le tableau financier ? Conclusion. Qu’attendez-vous exactement de cette présentation ? Soyez clair sur vos attentes. Les écueils à éviter Un certain nombre d’écueils sont à éviter pour que votre pitch deck ait les retombées espérées auprès de vos interlocuteur. Parmi ces écueils, nous en avons détecté trois qui sont assez récurrentes et qui peuvent pourtant être décisives. Trop, c’est comme pas assez. Un pitch deck surchargé peut noyer votre message. Soyez concis. Un design amateur. Pensez à votre pitch deck comme à votre tenue pour un premier rendez-vous. Il faut être impeccable. Oublier son histoire. Les chiffres sont essentiels, mais les histoires sont mémorables. Ne sous-estimez jamais le pouvoir du storytelling. Les astuces secrètes d’Estimeo Testez, testez et re-testez. Montrez votre pitch deck autour de vous avant la grande présentation. Embrassez votre passion. L’enthousiasme est contagieux. Si vous y croyez, votre auditoire y croira aussi. Adaptez votre deck. Une version pour l’email, une pour la présentation, une autre pour le site web… Chaque situation mérite sa propre version. L’identité visuelle, votre marque de fabrique. C’est le petit plus qui peut faire toute la différence. Elle raconte votre histoire, souligne votre unicité. Assurez-vous qu’elle soit en harmonie avec votre message. En conclusion, un pitch deck réussi est comme un puzzle. Chaque pièce doit s’imbriquer parfaitement pour former une image cohérente et impressionnante. En suivant ce guide d’Estimeo, vous avez toutes les clés en main pour faire de votre présentation une œuvre d’art mémorable. Alors, prêt à conquérir le monde ? Un article de William Tollet, analyste VC chez Estimeo. Chronique

Comment financer ma startup sans diluer le capital trop tôt ?

Comment financer ma startup sans diluer le capital trop tôt ? Comment financer ma startup sans diluer le capital trop tôt ? Dans le financement d’une start-up, ce n’est pas évident de se développer sans lever des fonds en cédant des parts de capital. Par contre, il est possible de structurer son plan de financement de façon à ne pas diluer le capital trop tôt. Retarder la dilution vous permettra de faire vos preuves en amont et d’ainsi obtenir une meilleure valorisation. Voici 3 astuces. Trouver des solutions alternatives pour la gestion de la love money Lorsque vous vous lancez, souvent la première étape est de mobiliser vos proches ou votre réseau professionnel pour financer votre projet. Lors de la mobilisation de la fameuse love money, beaucoup d’entrepreneur.e.s optent pour la cession de parts de capital ou par l’émission de BSA-Air, ce qui simplifie les choses mais n’évite pas la dilution. Est-ce que vos proches ont vraiment vocation à avoir des parts de capital de votre entreprise ? Est-ce qu’ils vont vous apporter de la valeur dans la durée, des ressources et de l’expertise supplémentaire ? Céder des parts de capital implique de leur donner un droit de parole sur la suite de votre projet : sont-ils légitimes, juste parce qu’ils vous ont apporté quelques euros ? Toutes ces questions sont fondamentales. Des solutions alternatives et non-dilutives aux BSA-Air existent, comme les levées de fonds en échange de royalties : plutôt que de leur céder des actions, vous vous engagez à céder un pourcentage du chiffre d’affaires futur de votre entreprise pendant une durée déterminée. Cela permet de les embarquer dans l’aventure de manière plus concrète, d’augmenter vos fonds propres, tout en gardant de la flexibilité : les remboursements dépendent entièrement du développement de votre activité. Vous pouvez faire un test afin d’évaluer l’engagement que cela peut représenter pour votre entreprise sur une plateforme comme WE DO GOOD. Sur ce sujet, vous pouvez aussi télécharger le guide sur la gestion de la love money. Profiter au maximum de l’effet de levier Une deuxième solution pour retarder une éventuelle ouverture du capital, ou ne pas en avoir besoin, est de bien enchaîner les sources de financement non-dilutif en profitant de l’effet de levier.  La clé pour déclencher l’effet de levier est d’augmenter vos fonds propres. Très souvent, Bpifrance, Réseau Entreprendre ou les banques vont vous dire qu’elles sont obligées de faire 1:1 : pour 1€ de fonds propres, elles sont en mesure de vous accorder 1€.  Si vous additionnez votre love money ou une levée de fonds en échange de royalties aux fonds que vous avez apportés à votre entreprise, vous obtenez donc le premier financement en fonds propres qui permet de débloquer des financement supplémentaires. Ensuite, ne tardez donc pas à aller voir Bpifrance, en parallèle des autres acteurs du financement de l’amorçage (Initiative, Wilco, Réseau Entreprendre, banques…). Cela vous permettra d’avoir un plan de financement plus solide et de lancer votre projet avec de la sérénité.  Plus vous avez de financeurs qui vous suivent à cette étape, plus vous avez des leviers de financement activables plus tard. Il ne faut donc pas hésiter à mobiliser plusieurs banques : cela prend certes un peu plus de temps, mais avoir 2 ou 3 banques qui vous suivent dès l’amorçage peut sauver votre entreprise plus tard, lors d’un creux d’activité ou d’un besoin de BFR. Sur ce sujet, n’hésitez pas à télécharger le livre blanc sur le financement de l’amorçage réalisé par Estimeo et WE DO GOOD. Faire le pari d’une croissance organique De plus en plus relayé en France, notamment par les acteurs de la Tech For Good, le mouvement des zèbres (par opposition aux licornes), prend de l’ampleur et valorise des modèles de financement alternatifs. “Le modèle du venture capital est pertinent pour une minuscule fraction d’entreprises. Nous ne pouvons pas nous laisser induire en erreur et penser que cela est le futur de l’entrepreneuriat”, précise Mara Zapeda, à l’origine du mouvement Zebras Unite. Des start-up comme la nantaise Crisp prouvent qu’un autre modèle est possible. Entièrement autofinancée, la start-up n’a jamais eu recours aux levées de fonds pour se développer. Aujourd’hui, Crisp propose une des seules solutions françaises sur un marché très concurrentiel, dominé par des géants américains. Un peu comme David contre Goliath ! Quelle est la clé d’une telle réussite : une expertise en interne, du support externalisé, de l’agilité et de la capitalisation sur les retours utilisateur. Article écrit par Susana Nunes, co-fondatrice de notre partenaire WE DO GOOD #dilution #financement #investissement #startup Chronique

Combien reste-t-il d’actions aux fondateurs des startups qui s’introduisent en bourse ?

Combien reste-t-il d’actions aux fondateurs des startups qui s’introduisent en bourse ? Combien reste-t-il d’actions aux fondateurs des startups qui s’introduisent en bourse ? Monter une startup, la développer, la faire grandir, pour un jour… faire un exit ! C’est en quelque sorte la ligne d’arrivée de la course entrepreneuriale. Encore faut-il terminer la course, voire la commencer. C’est cependant la volonté de bon nombre d’entrepreneurs, dont l’ambition est la croissance, accélérée par des investisseurs qui catalysent ce développement. À chaque tour de financement (Pré-seed, seed, Série A, B, C, …, Z ?), de nouveaux investisseurs entrent au capital, ce qui implique que les fondateurs voient leur nombre d’actions diluées. Néanmoins, toutes les startups ne sont pas accompagnées par des investisseurs, et certaines continuent de s’autofinancer : c’est ce qu’on appelle le bootstrapping. Voici une statistique présentant le taux de startups financées réalisant un exit. M&A-Tech-Multiples-France Avolta Partner Nous observons une progression croissante au cours des dernières années sur la proportion de startups financées. Nous nous demandons alors naturellement, quelle est l’influence de ces investissements sur la performance des exits ? M&A-Tech-Multiples-France Avolta Partner Les startups qui lèvent des fonds sont généralement plus performantes, de taille supérieure, mais surtout voient le temps jusqu’à l’exit diminuer. Cette dernière statistique valide l’intérêt des investisseurs dont le rôle est d’accélérer la croissance. Si nous nous intéressons aux startups financées, en étudiant les taux de dilution moyens de chacun des rounds de financement dans l’écosystème entrepreneurial, nous obtenons les données suivantes : M&A-Tech-Multiples-France Avolta Partner Cela amène un taux moyen de dilution de plus de 23 % par tour de financement. Mais alors, reste-t-il des parts aux fondateurs lors de l’exit ? Touchent-ils également leur « part du gâteau » ? Craft.co La moyenne (à nuancer car cette statistique est mondiale) se situe à 15% restant d’equity pour les fondateurs avec des gains aux alentours de 100 millions d’euros. Lors de son IPO, les fondateurs de Criteo possédaient encore 19% (soit l’équivalent de 320M$) d’après une étude réalisée par Craft.co Le chemin jusqu’à l’exit est long, mais désormais vous connaissez les potentielles récompenses. Puis même si exit semble raisonner comme la fin d’une aventure, il s’agit en vérité d’un nouveau jalon franchi pour continuer le développement de la structure.  Quels sont donc les intérêts et les enjeux sous-jacents de ces IPO ?  IPO à tout prix… Qu’en est-il des SPACs qui permettent à ce jour d’introduire sa société sur le marché public ? *Les infographies de cet article sont issues du rapport Tech Multiples France d’Avolta Partner sur l’écosystème français.  Articlé rédigé par Estimeo #fondateur #capital #entrepreneur #levéedefonds #ipo #startups Chronique

Comment construire un Business plan financier ? : Le guide d’Estimeo

Comment construire un Business plan financier ? : Le guide d’Estimeo Comment construire un Business plan financier ? : Le guide d’Estimeo La magie de l’entrepreneuriat ! Tandis que les idées bourdonnent et que les innovations surgissent, le défi de transformer ces brillantes visions en une réalité concrète se présente. Et l’un des outils les plus essentiels pour y parvenir est le Business Plan (BP) financier. Chez Estimeo, spécialiste de la valorisation des startups, nous avons décidé de vous éclairer sur cette étape cruciale. Pourquoi est-il essentiel d’avoir un business plan financier ? Le business plan est un outil financier important pour aller chercher de l’argent. Il permet de formaliser le projet par écrit, de tester différentes hypothèses, de structurer ses objectifs et d’estimer la faisabilité économique et financière d’une entreprise. En d’autres termes, il permet à l’entrepreneur de prendre de la hauteur sur son projet.  La clarté et la crédibilité sont les piliers fondamentaux pour un business plan financier solide. Il est comme un GPS pour votre startup qui vous montre où vous voulez aller, comment vous comptez y arriver et, surtout, si vous avez le carburant financier nécessaire pour atteindre votre destination.  Pour les banquiers et les partenaires financiers, le business plan est un document sur lequel ils se penchent avec une attention particulière. En effet, ils vont chercher à comprendre vos projections financières et ainsi identifier s’il y a une opportunité d’investissement. Le business plan est donc un document essentiel pour les convaincre de la solidité et du potentiel de développement de votre startup. En résumé, le business plan est un outil de référence qui permet aux entrepreneurs d’y voir plus clair sur leur startup et piloter l’entreprise à moyen et long terme. Personnalisez votre business plan selon votre modèle d’affaires Toutes les startups ne sont pas créées de la même manière. Qu’il s’agisse de SaaS, d’e-Commerce, d’App-mobile ou encore de Marketplace, chaque modèle d’affaires à ses propres caractéristiques. Il est donc important de choisir le bon modèle d’affaires pour assurer le succès et la durabilité de l’entreprise. Voici une exploration plus approfondie de chaque modèle :  SaaS : ce modèle est idéal pour les entreprises qui développent des logiciels ou des applications basées sur un modèle d’abonnement. Il offre un flux de revenus récurrent et prévisible, ce qui est vital pour la planification à long terme et la stabilité financière. Les entreprises SaaS se concentrent souvent sur l’amélioration continue de leurs produits et sur la fourniture d’un support client de qualité pour maintenir et augmenter leur base d’abonnés. App-mobile : ce modèle convient particulièrement bien aux applications offrant des fonctionnalités de base gratuites (modèle freemium), avec des options de mise à niveau payantes pour accéder à des fonctionnalités premium. Cela permet une adoption facile par un large public, tout en générant des revenus grâce aux utilisateurs les plus engagés. Marketplace : dans ce modèle, la startup agit comme un intermédiaire facilitant les transactions entre acheteurs et vendeurs. La clé du succès ici réside dans la création d’une plateforme fiable et conviviale où les commissions sur chaque transaction génèrent des revenus. Les marketplaces réussies doivent attirer un grand nombre de vendeurs et d’acheteurs pour créer un effet de réseau, augmentant ainsi la valeur pour tous les utilisateurs. E-Commerce : ce modèle est adapté aux startups qui souhaitent vendre des produits physiques ou numériques en ligne. Il exige une excellente compréhension de la logistique, de la gestion des stocks et du marketing numérique. La réussite dans le e-commerce dépend largement de la capacité à offrir une expérience utilisateur exceptionnelle, des processus de paiement sécurisés et une logistique efficace. Chaque modèle d’affaires a ses propres défis et opportunités. La sélection du bon modèle pour votre startup dépendra de la nature de votre produit ou service, de votre marché cible, et de vos compétences et ressources internes. Une compréhension approfondie de chaque modèle et une stratégie bien conçue sont cruciales pour naviguer dans le paysage compétitif des startups et pour construire une entreprise prospère et durable. Conseils pour réussir son business plan Pour élaborer un business plan convaincant, l’accent doit être mis sur la complétude, le réalisme et la cohérence de votre projet. Commencez par une étude de marché approfondie pour assurer la viabilité de votre idée, en intégrant toutes les informations essentielles telles que la présentation de l’équipe, le marché visé, le business model, et une analyse financière précise. Un business model clair, axé sur la création de valeur pour les clients et appuyé par des objectifs réalisables et un plan d’action adapté à vos capacités, est crucial. Assurez-vous que votre prévisionnel financier soit complet, sans erreurs et reflète précisément les besoins et les coûts de votre projet. Enfin, Un business plan doit avant tout vous convaincre vous-même avant de chercher à rassurer vos partenaires et investisseurs. En résumé, veillez toujours à avoir une vision à long terme tout en gardant les pieds sur terre  ! Suivre ces étapes avec diligence vous aidera à présenter un business plan robuste et à maximiser vos chances de succès. La route de l’entrepreneuriat est jalonnée d’obstacles, mais avec un business plan financier solide, vous avez une carte précieuse en main. Dedans, ce n’est pas seulement des chiffres, mais l’histoire de votre vision et de votre passion. Alors, plongez dans sa création avec tout le sérieux qu’elle mérite, et bientôt, vous verrez votre rêve prendre forme devant vos yeux. startupfinancementbusiness planentrepreneuriat Conseils

Chroniques D’Effectuation #19 : PinotBleu, Transmettre L’Amour Du Vin Bio

Chroniques D’Effectuation #19 : PinotBleu, Transmettre L’Amour Du Vin Bio Chroniques D’Effectuation #19 : PinotBleu, Transmettre L’Amour Du Vin Bio Comme disait Marcel Pagnol « Quand le vin est tiré, il faut le boire, surtout s’il est bon ». Mais avec 80 % du vin acheté en supermarché et sans conseil avéré, que faut-il boire ? Qui n’a jamais passé 30 minutes dans le rayon vin de Carrefour à essayer de choisir le bon Bordeaux pour épater un groupe d’amis amateurs ? En deux mots. C’est bon, c’est bio. Cette réalité est reflétée par la dernière étude de l’Agence du Bio selon laquelle 51 % des Français souhaiteraient trouver plus de vins bio dans les grandes et moyennes surfaces. La vague du bio n’est pas près de s’éteindre sur le marché viticole, où 9 % des vignes sont maintenant bio en France. Avec autant de vignobles et de cépages bio, comment choisir ? PinotBleu est votre solution. PinotBleu facilite le dur choix de la sélection d’une bonne bouteille de vin, qui plus est bio. Dans le respect de valeurs qui leur tiennent à cœur, Thomas et François-Xavier “proposent des vins de la France entière qui sont produits dans les plus belles conditions pour les partager avec sa famille et ses amis”. Sous forme de coffrets, de box et d’abonnements, les meilleures bouteilles vous parviennent en 24 à 48h. Nos deux amoureux de la vigne se sont fait une place dans nos cœurs mais également dans les événements professionnels. L’équipe. Une complémentarité surprise. Thomas et François-Xavier sont le fruit d’une rencontre fortuite : des amis en commun, un dîner et l’idylle entrepreneuriale commence. Un duo école d’ingénieur-Polytechnique qui après quelques rencontres se jette à l’eau, ou plutôt dans la cuve à fermentation ; deux univers qui se rencontrent et qui se complètent totalement. François-Xavier qui travaillait dans le “retournement”, c’est à dire remettre sur pattes les entreprises, est donc évidemment chargé de la partie opérationnelle. Thomas qui a eu plusieurs expériences en grands groupes, gère l’expérience digitale, la communication et la gestion des clients. La famille PinotBleu s’est aujourd’hui bien agrandie et compte, trois ans après sa création, six collaborateurs. Basée à Lyon, la belle équipe est répartie sur différents postes : l’acquisition, le développement, la vente, la supply chain et la communication. Article Estimeo à retrouver en intégralité sur Forbes #startup #investissement #chronique #investisseur #levéedefonds Chronique

Chroniques d’Effectuation #18 : KickandBoost Rendre Visible L’Invisible

Chroniques d’Effectuation #18 : KickandBoost Rendre Visible L’Invisible Chroniques d’Effectuation #18 : KickandBoost Rendre Visible L’Invisible En 1975, l’immatériel représentait 17 % de la valeur de nos entreprises, aujourd’hui cela représente plus de 84 %. Que s’est-il passé ? Sans nul doute une transformation profonde de notre économie vers la connaissance et le numérique. Mais comment rendre visible cette valeur immatérielle fruit de notre jus de cerveau, des interactions entre l’entreprise, ses parties prenantes, la société et l’environnement, etc. Cet immatériel des entreprises, intangible par nature, est pourtant bien présent et mérite d’être mieux appréhendé, développé et financé. La plateforme KickandBoost œuvre dans ce sens en finançant les projets immatériels B2B. En deux mots : Financer l’immatériel au démarrage A profils atypiques, solution innovante. Deux ingénieurs qui s’unissent pour développer une plateforme de financement est inhabituel mais fonctionnel. La plateforme KickandBoost à la croisée du monde bancaire, du financement participatif et des aides Bpifrance offre une solution de financement de l’immatériel des entreprises. Ne vous y méprenez pas ; derrière cette dénomination technique aux accents britanniques se cache une solution accessible à tous. En toute simplicité, sur KickandBoost, les vendeurs peuvent préfinancer leurs projets immatériels comme le développement d’un logiciel, d’une formation ou d’une application. Les acheteurs, en participant à la cagnotte réceptionnent le livrable dans le délai déterminé par le vendeur. Une mutualisation des coûts sous forme de préachat qui donne à la plateforme toute son utilité. Le développement de ce cercle vertueux en seulement deux années nous a été décrit de manière cartésienne par l’un des cofondateurs : Khaled. Le problème : Où chercher ? A l’origine de KickandBoost, deux entrepreneurs aux profils singuliers : Khaled Baaziz et Stéphane Grousson. Tous deux sont ingénieurs et se sont connus à l’école. Khaled suivait alors les travaux dirigés d’informatique donnés par Stéphane en doctorat. Khaled et Stéphane partagent la même logique et suivent un parcours similaire. Nos deux ingénieurs deviennent entrepreneurs à quelques années d’écart seulement. Khaled fonde Kamitis, une société spécialisée en expertise scientifique, en intelligence économique et en veille stratégique et technologique en 2010, et Stéphane se lance dans l’aventure entrepreneuriale en 2003 avec Orpiment, qui développe des plateformes digitales. Article Estimeo à retrouver en intégralité sur Forbes #startup #investissement #valorisation #investisseur #levéedefonds Chronique

Chroniques D’Effectuation #17 : Bloom At Work, La Mesure Du Bonheur Au Travail Brut

Chroniques D’Effectuation #17 : Bloom At Work, La Mesure Du Bonheur Au Travail Brut Chroniques D’Effectuation #17 : Bloom At Work, La Mesure Du Bonheur Au Travail Brut Vous êtes manager : pensez-vous que vos employés sont épanouis au travail ? Vous êtes collaborateur : faites-vous entendre votre voix sur votre bien-être au travail ? Ces questions, formant les bases d’un bon dialogue social et d’une meilleure performance d’entreprise, sont pourtant souvent relayées au second plan voire oubliées d’être posées. Et pourtant, les études académiques comme celle de l’UC Berkeley démontrent que les employés heureux sont 86 % plus créatifs et novateurs que les autres ou encore celle de Gallup prouvant que les Millennials épanouis au travail prennent 41% de congés maladie en moins. En deux mots : Heureux ceux qui se questionnent, ils seront épanouis ! Face à ce constat paradoxal, existe-il des solutions ? Oui : Bloom at Work — dont la signification littéraire invite à la floraison, l’éclosion et l’épanouissement au travail. Leur solution permet de mesurer et analyser, régulièrement et en temps réel, le bien-être et l’engagement des collaborateurs. A travers ces outils de mesure “scientifisés”, un plan d’action approprié peut être proposé. Ce concept est pleinement dans l’air du temps, celui où fleurissent les gourous de la méditation, du yoga et du baby-foot pour faire fuir les spectres du “burn-out” et “bore-out”. Avec plus de 25 millions d’actifs en France, et une dépense moyenne de 40 € par collaborateur, le marché de la mesure du bien-être représenterait près du milliard d’euros, et va croissant. Le Problème. La contre-culture du feedback. Charles, 31 ans, est un ingénieur diplômé de Centrale Supélec, Columbia et Sciences Po. Sur-diplômé, il rejoint le prestigieux cabinet de conseil en stratégie, McKinsey, à la fin de ses études. Comme il s’y attendait, le rythme de travail est très intense Pourtant, lors des questionnaires collaborateurs envoyés toutes les 2 semaines, ses collègues ne se plaignent pas franchement de la charge de travail. Jusqu’au jour où un projet « cataclysmique » le pousse avec d’autres membres de son équipe à répondre plus sévèrement au questionnaire. Voyant ces résultats, l’associé en charge de l’équipe réunit l’équipe et entame une discussion saine et constructive sur le rythme de travail. Et les résultats et conclusions sont très positifs. C’est une révélation ! Il quitte son cabinet de conseil et opère un grand revirement de carrière. Article Estimeo à retrouver en intégralité sur Forbes #startup #investissement #valorisation #investisseur #levéedefonds Chronique

Chroniques d’Effectuation #16 : POSQA, Du Papier Augmenté

Chroniques d’Effectuation #16 : POSQA, Du Papier Augmenté Chroniques d’Effectuation #16 : POSQA, Du Papier Augmenté En deux mots. De l’émotion en réalité augmentée. Thomas Templier, comme son nom l’indique, est un voyageur, un conquérant. Il n’oublie jamais d’envoyer une carte postale à sa mamie. Cette dernière, toujours heureuse de découvrir ses nouvelles aventures, inspire le jeune homme. Dès la fin de ses études, après un Master Entrepreneuriat et Innovation, il se lance à l’assaut de la réalité augmentée pour susciter l’émotion, augmentant par exemple les capacités de la carte postale. Aujourd’hui, le jeune diplômé de l’ESCE tente de révolutionner la communication en réalité augmentée sur support papier. Sa startup : POSQA ; et ses Posqartes ont fait le tour du monde et sont désormais en train de prendre le marché par surprise. Située à Morning Coworking à Clichy, l’équipe POSQA est composée de Thomas, fondateur, Thibaut, graphiste, Rémi, concepteur 3D et Karen, la conseillère avisée. La startup bénéficie aussi d’une force de vente de cinq business développeurs freelances situés à Lyon, Paris, Rennes et Montpellier. Le problème. Un pont entre les communications. Le monde de la communication oscille toujours entre l’usage papier et le digital. Or, le papier à usage unique finit bien souvent à la poubelle. Le digital, quant à lui, nécessite avant toute chose une incarnation, un appât afin de créer de l’engagement. Le QR Code pourrait être la solution mais pour Thomas « ce n’est pas esthétique et ça ne fait que rediriger vers une page »… Article Estimeo à retrouver en intégralité sur Forbes #startup #investissement #valorisation #investisseur #levéedefonds Chronique