Effectuation Chronicle #12 – Eyenight, A Celebration For A Thousand And One Night

Effectuation Chronicle #12 – Eyenight, A Celebration For A Thousand And One Night Effectuation Chronicle #12 – Eyenight, A Celebration For A Thousand And One Night Summer is coming to an end. With the start of the school year, holiday loves like dead leaves are picked up by the shovel. September looks very sad. And yet, there is a clear joy in the city. You have seen them proud as Artaban wearing their colours; or heard their carabinieri songs and bawdy choruses. No doubt, the student bacchanals are back! With their share of nonsense and nonsense, this year promises to be a busy one for worried parents and less assiduous students. But what is the relationship between student fredaines and the subject at hand, entrepreneurship? It is because the celebration is not free from the digital and digital transformations that affect our society. The entrepreneurs, the protagonists of this column, are also involved in « disrupting » the practices of night and festive events. In a nutshell : The Queen of the Night. Our hero of the day is a heroine, Charline Broche, the co-founder of Eyenight. With Guillaume Bailly-Salins and at the age of 20, they managed to turn what was only an academic project into a real company. Launched in 2014, Eyenight offers professionals in the festive and night event industry a solution for online ticketing and cashless cashing as well as marketing, communication and IT services. Another platform is dedicated to night adventurers: it allows you to find an event, book and pay online for tickets and drinks, and see who participates. Located in the Auvergne Rhône-Alpes, a region in which Eyenight sells more than 2,000 tickets per month on average, the startup has acquired enough notoriety to want to expand on a national and international scale… Article to be found in full on Forbes Chronicle

Cubyn, Du Stockage À L’Expédition

Cubyn, Du Stockage À L’Expédition Cubyn, Du Stockage À L’Expédition Les fêtes de fin d’année, et les soldes qui les suivent, sont des périodes qui mettent à rude épreuve les acteurs de la logistique. De la gestion des stocks à l’expédition, le défi est immense pour que les colis arrivent à destination en temps et en heure. De plus, ces aspects très opérationnels représentent une part importante de la chaîne de valeur et de l’expérience client. Pour réaliser ce tour de force, il faut s’appuyer sur une organisation sans faille. C’est ainsi qu’Adrien Fernandez Baca, le fondateur de Cubyn, a eu l’idée de tirer parti des derniers progrès technologiques pour rationaliser et fluidifier la logistique pour les e-commerçants. De La Technologie Dans La Logistique. Avec les années, les e-commerçants ont beaucoup évolué. Ils sont de plus en plus cross marketplaces c’est-à-dire qu’ils proposent leurs produits sur différents sites marchands pour profiter du trafic de chacun. Adrien explique d’ailleurs que c’est cet aspect qui les séduit le plus “Cubyn agrège et synchronise les différents canaux de ventes utilisés, comme les sites web détenus en propre et les marketplaces. Ensuite, les commandes sont consolidées, réalisées puis expédiées de nos entrepôts vers les clients finaux”. Pour les marchands, toutes ces étapes sont visibles et pilotables depuis une unique interface web ultra-simple. En outre, grâce à son optimisation de tous les facteurs, Cubyn permet à ses clients de réduire les coûts de livraison de 30 %.  En proposant une solution intégrant une telle plateforme, Adrien bouscule un peu le marché de la logistique. Ce marché très traditionnel représente 5 milliards d’euros en France et plus de 50 milliards d’euros à l’échelle européenne. Pour gagner des parts de marché rapidement, Adrien a choisi d’attaquer l’Europe par la France, un territoire un peu moins compétitif que les États-Unis. Si ceux-ci comprennent déjà de très nombreux acteurs qui s’adressent aux e-commerçants, aucun n’est vraiment comparable à Cubyn. Retrouvez l’article complet Estimeo sur Forbes #investissement #investisseur #startup #valorisation Chronique

CR : Webinaire – se financer pendant et malgré la crise

CR : Webinaire – se financer pendant et malgré la crise CR : Webinaire – se financer pendant et malgré la crise Le mercredi 1er avril à 11h30, Mark de Kriptown et Florian Bercault d’Estimeo ont conjointement réalisé un Webinaire afin d’analyser les enjeux financiers que soulèvent cette crise sanitaire et économique de la Covid 19. Voici un court compte-rendu des échanges.  Présentation des animateurs Kriptown est une plateforme permettant à toute personne issue de l’Union Européenne de soutenir des startups. Grâce à l’utilisation de sa blockchain privée, Kriptown facilite l’investissement en startup en démocratisant l’accès aux levées de fonds et en fournissant pour chaque levée un whitepaper standardisé, validé par trois tiers de confiance, pour permettre aux investisseurs d’avoir accès à l’intégralité des informations avant souscription. Estimeo est une plateforme de notation et valorisation des startups. La mission d’Estimeo, en tant que notateur tiers de confiance, est d’apporter de l’information indépendante et non biaisée à l’ensemble de l’écosystème startups et du capital-innovation. Une confrontation offre et demande déséquilibrée La valorisation est le fruit d’une confrontation entre l’offre et la demande. En période de crise, cette demande s’ajuste moins bien. Les poches d’investissement vont se rarifier. Les Business Angels et fonds VC vont se concentrer sur les startups dans lesquelles ils ont déjà investis et éventuellement réinvestir pour soutenir leur activité. En parallèle, les grands comptes dont découlent habituellement les « exits » vont certainement se reconcentrer sur leur cœur de métier et risquent de contracter leur budget innovation. Pour des raisons évidentes, la demande finale de rachat et la demande des BA et VC risquent alors de fortement diminuer. Par ailleurs, l’offre risque d’augmenter, puisque les startups voient leur chiffre d’affaires en baisse conjointement à la trésorerie. La demande va donc diminuer face à une augmentation de l’offre. Ce déséquilibre va diriger les valorisations vers le bas, Mark de Kriptown parle d’une baisse de 30 à 40 % des valorisations. Il faut accepter le changement de paradigme et la chute des valorisations pendant la crise. Les chutes boursières sont de 30 % en France. Sans oublier les gagnants … Les startups de l’Edtech, celles spécialisées dans le télétravail ou encore la télémédecine sortent leurs épingles du jeu, certes. Cependant, les grands gagnants seront les startups des secteurs impactés les plus agiles, qui auront su adapter leur business model et réagir rapidement à la crise. Ces entreprises vont pouvoir se démarquer auprès des investisseurs et des clients. Comment valoriser une startup : la méthode Estimeo La valorisation représente un potentiel futur d’une startup versus le monde incertain dans lequel on vit. Le travail de valorisation est particulièrement délicat pour des startups, des entreprises avec peu ou pas de revenus et de bénéfices, au futur incertain. Les difficultés dans la problématique de valorisation d’entreprises résident moins dans l’application de la méthode mais dans le choix de celle-ci, dans la mesure où chaque méthode est adaptée à un certain profil d’entreprises. Estimeo utilise 6 méthodes : La méthode Déclarative Direct ou dilutive La méthode Scorecard La méthode Checklist La méthode des DCF Les comparables La méthode VC Pour plus d’information : http://51.159.175.223/valuation Les acteurs du financement en France L’efficacité des aides de l’Etat pour faire face à la crise Pour les entreprises du numérique, dont les startups, l’Etat adapte les grandes décisions de Bercy à la cible. « Plan d’urgence de soutien à nos startups » Soutien des startups en cours de levées de fonds et financer le bridge : tout est piloté par Bpifrance  Prêt de trésorerie garanti par l’Etat Remboursement accéléré des crédits d’impôt (CIR, et TVA) pour alléger la trésorerie Versement anticipé des aides à l‘innovation (PIA) En tant que dirigeant, il est important de s’entourer des acteurs : Bpifrance : Numéro vert : 0969 370 240 Son banquier : demander un soutien de trésorerie Expert-comptable pour les démarches administratives Volet RH important et notamment Legalplace Médiateur du crédit Médiateur des entreprises Ses salariés, être en communication permanente Ses actionnaires, être transparents avec eux La priorité à court terme est de ménager sa trésorerie : Jouer sur les délais de paiement : reporter les échéances fiscales Revoir son BP avant de mettre tous ses salariés en chômage partiel A moyen terme, il va falloir renforcer ses fonds propres. Les financements vont baisser et les valorisations aussi. Il faut continuer les discussions en cours avec les investisseurs et être transparent sur les besoins. Ouvrir son capital à des salariés ? Faire appel à ses investisseurs historiques Continuer à communiquer ! Enfin, il faut penser à préparer la sortie de la crise. Un site de l’Etat recense toutes les aides nécessaires : https://info-entreprises-covid19.economie.gouv.fr/kb Act for Entrepreneurs Kriptown a décidé de contribuer pour soutenir l’innovation pendant cette période exceptionnelle avec le lancement d’un collectif d’investisseurs “Act for Entrepreneurs” pour permettre de financer des startups et des PME à hauteur de 20K€ et jusqu’à 50K€. Ce dispositif est complémentaire aux mesures de soutien mises en place pour les startups par le gouvernement. “Act for Entrepreneurs” permet ainsi une augmentation de capital accélérée pour donner du temps aux startups de créer des solutions plus pérennes pour traverser cette crise. Tout le détail : https://www.actforentrepreneurs.fr/ #investissement #startup #valorisation Événement

CP octobre 2022 | Baromètre de confiance des startups – Mazars x Estimeo

CP octobre 2022 | Baromètre de confiance des startups – Mazars x Estimeo CP octobre 2022 | Baromètre de confiance des startups – Mazars x Estimeo Des dirigeants de startups plutôt confiants malgré un contexte économique incertain. Indice de confiance des dirigeants de startups : 75.21. Paris, le 5 octobre 2022 – Dans un contexte d’incertitude face aux enjeux économiques, qui entraîne un ralentissement du rythme et du volume des levées de fonds des startups, Mazars et Estimeo lancent le premier baromètre trimestriel de Confiance des startups. Plus de 200 startups françaises ont été sondées sur la période d’août à septembre, et continueront de l’être afin d’analyser en temps réel le positionnement de leurs fondateurs à la lumière de sujets variés (chiffre d’affaires, financement, recrutement…). Ce premier baromètre donne à voir des résultats positifs avec un Indice de Confiance des Dirigeants de Startups qui s’élève à 75.21. Les dirigeants interrogés se disent confiants quant à leur avenir, notamment concernant leurs enjeux internes. La confiance est amoindrie concernant certains enjeux externes. Des dirigeants de startups majoritairement confiants quant à leurs enjeux internes Le niveau de confiance des startups interrogées concernant l’évolution de leur marché est de 82. « On note que les secteurs de la Greentech, de la Smartcity et de la Cybersécurité sont les plus confiants concernant leur marché » analyse Adrien Fenech, Président . A ce titre, 84% pensent pouvoir répondre aux enjeux de RSE, notamment les secteurs de la Greentech, et de la Cybersécurité. Concernant leur capacité à garder le rythme dans le développement de leurs produits et services, l’indice de confiance est de 82. Les dirigeants sont à 84 % optimistes quant à leur capacité à réaliser leurs prévisions de chiffre d’affaires, et leurs objectifs de vente. « La confiance augmente avec le nombre d’employés : les entreprises les plus jeunes sont légèrement moins optimistes sur ce sujet » souligne Stéphanie Latombe, Associée Capital Markets chez Mazars. En revanche, ce sont les startups les plus récemment créées qui sont majoritairement très confiantes envers le soutien du gouvernement. Les enjeux de recrutement sont par ailleurs nettement mis en exergue par ce premier baromètre. 52 % des dirigeants sont optimistes concernant leur capacité à recruter, et 87 % sont optimistes et très optimistes quant à leur capacité de rétention des talents en interne. Néanmoins les salariés des startups ne semblent pas échapper à la quête de sens personnel et professionnel. « Il va être nécessaire de créer une culture managériale responsabilisante au sein des startups » note Mathilde le Coz, DRH de Mazars en France. Une confiance plus mitigée concernant les enjeux externes Le degré de confiance des dirigeants relatif à leur capacité de financement dans les prochains mois s’avère également être l’un des taux les plus bas de ce baromètre : seuls 8 % se disent très optimistes (indice de 69.45). Les startups restent cependant confiantes quant à leur capacité à lever des fonds car elles considèrent posséder les prérequis pour y parvenir : la rentabilité et la notion d’impact.startup s les moins confiantes sont celles des secteurs Web3 et Fintech. Le degré de confiance des dirigeants relatif à leur capacité de financement dans les prochains mois s’avère également être l’un des taux les plus bas de ce baromètre : seuls 8% se disent très optimistes (indice de 69.45). Les startups restent cependant confiantes quant à leur capacité à lever des fonds car elles considèrent posséder les prérequis pour y parvenir : la rentabilité et la notion d’impact. « L’indice de confiance pour ce premier baromètre est relativement élevé, bien qu’il n’atteigne pas les 100. Son évolution fin 2022 sera d’autant plus intéressante à analyser que l’actualité tend à laisser croire qu’il sera amené à baisser. A suivre de près ! » conclue Adrien Fenech, Président d’Estimeo. Méthodologie du Baromètre 200 dirigeants de startups françaises de différentes maturités (0 à plus de 7 ans d’existence), et de secteurs différents (deeptech, legaltech, RHtech, Mobilité, Ecommerce, Greentech, Foodtech…) ont été interrogées entre août et septembre 2022 dans le cadre de la construction de l’Indice de Confiance des Dirigeants de Startups. Le calcul de l’indice de confiance est basé sur une conversion des réponses en chiffre de 0 à 100. Le niveau de confiance le plus élevé correspond à 100. Cet indice est donné en valeur absolue. L’objectif de ce baromètre sera de pouvoir suivre au cours des trimestres et des différentes éditions de ce baromètre, les variations de l’indice et l’évolution de ce degré de confiance. startupsgreentechfondateur Études

CP mars 2023 | Deuxième édition du Baromètre de confiance des startups – Mazars x Estimeo

CP mars 2023 | Deuxième édition du Baromètre de confiance des startups – Mazars x Estimeo CP mars 2023 | Deuxième édition du Baromètre de confiance des startups – Mazars x Estimeo Paris, le 21 mars 2023 – Quelques semaines après les résultats du Next 40/French Tech 120, Mazars et Estimeo dévoilent la deuxième édition de leur baromètre trimestriel de Confiance des startups. Dans le prolongement de la première édition réalisée entre août et septembre 2022, plus de 250 startups françaises ont été sondées entre janvier et février 2023 afin de comprendre l’évolution et le positionnement en temps réel de leurs fondateurs sur dix enjeux clés (situation économique, recrutement, RSE…). Ce deuxième baromètre révèle un Indice de Confiance des Dirigeants de Startups à 75.53, en légère hausse par rapport au précédent (+0,32 point). En dépit d’un contexte incertain, les dirigeants interrogés restent confiants dans leur avenir, y compris sur le plan économique. Les secteurs à impact, en particulier, maintiennent un niveau global de confiance élevé. Les sujets de recrutement sont néanmoins sources de préoccupation pour les dirigeants de startups. Les dirigeants de startups abordent 2023 avec plus de confiance Avec un indice de confiance générale de 75.53, les dirigeants de startups maintiennent un niveau de confiance plutôt élevé au début d’année 2023. Les indicateurs illustrent une tendance à la hausse pour les sujets économiques. Malgré une conjoncture incertaine, l’indice de confiance relatif à la situation économique enregistre la plus forte hausse de ce baromètre et s’élève désormais à 65.19 (+2.11 points). De même, la confiance dans le chiffre d’affaires reste élevée et l’indice atteint désormais 79.39 (+1 point). Enfin, la confiance liée à la stratégie de financement se maintient à 70.70 (+0,7 point), malgré un contexte marqué par la diminution des levées de fonds. Ce regain de confiance illustre la capacité de résilience des entrepreneurs, qui savent adapter leur stratégie aux fluctuations économiques. On retrouve toutefois certaines disparités en fonction de la taille des structures et des secteurs concernés. Les plus petites startups semblent pâtir davantage des fluctuations du marché, et enregistrent des niveaux de confiance dans la situation économique environ 10 points inférieurs à ceux des structures de plus de 10 employés. Un niveau de confiance plus élevé dans les secteurs à impact L’indice de confiance dans le marché reste important bien qu’en baisse de 2.25 points, avec un indice de 79.34. Le contraste des données par secteur illustre la montée en puissance des secteurs à impact et dessine les nouvelles tendances de marché à venir. La Cybersécurité culmine à un indice de confiance à 93.4, suivie de la Greentech à 90 et du secteur de la Culture/Divertissement/Gaming à 87. De la même manière, on enregistre des écarts de confiance significatifs entre structures bénéficiaires et non-bénéficiaires d’aides publiques, ce qui explique que la confiance accordée au gouvernement retombe à 70.39 (-1 point). Les secteurs comme la Cybersécurité, le Tourisme & Loisir, ou encore la Greentech et la Deeptech, soutenus par le gouvernement, présentent ainsi un indice de confiance dans les sujets économiques plus élevé. Ce sont également ces secteurs qui, en conséquence, sont les plus confiants dans la réalisation de leurs objectifs RSE : les secteurs de la GreenTech et de la Cybersécurité enregistrent tous deux un indice de confiance de 90, et sont talonnés par l’Energie/Industrie/Hardware à 88,8. La confiance dans la réalisation des objectifs RSE se maintient néanmoins à niveau élevé, tous secteurs confondus, avec un indice global à 81.4. Le recrutement, un défi pour 2023 Les sujets de recrutement restent sources de préoccupation pour les dirigeants de startups. Si le degré de confiance dans leur capacité de recrutement gagne 1,5 point, il reste à un niveau global plutôt faible avec un indice à 72.87. Les startups ayant un chiffre d’affaires trimestriel supérieur à 5M€ sont plus confiantes que la moyenne, mais la maturité est aussi un facteur discriminant : les startups ayant entre 3 et 7 ans, situées entre la phase d’amorçage et la série A, semblent plus réservées quant à leur capacité à recruter. Lydia Bouzerar, Associée chez Mazars, déclare : « Dans un contexte économique particulièrement incertain, les données de ce baromètre fournissent des indicateurs précieux pour évaluer le ressenti des dirigeants de startups en temps réel. Les premiers résultats démontrent le maintien d’un haut niveau de confiance général, ce qui illustre la force de résistance de l’écosystème startup français ». Adrien Fenech, Président d’Estimeo, ajoute : « La grande force de ce baromètre est de permettre d’analyser en profondeur l’évolution de la perception des dirigeants de startups, grâce à ses données réactualisées à intervalles très réguliers. Ces nouvelles données permettent d’entrevoir les grandes tendances qui marqueront l’année 2023 ». Comparatif des indices de confiance entre octobre 2022 et mars 2023 : ​Dimension Indice de confiance (octobre 2022) ​Indice de confiance (mars 2023) Economie 63.08 65.19 Gouvernement 71.34 70.39 ​Marché 81.59 79.34 ​Développement produits et services 81.99 81.63 Chiffre d’affaires ​78.31 79.38 Stratégie de financement 69.45 70.7 ​Recrutement 71.34 72.87 Rétention de talents 80.4 79.53 RSE 81.89 81.4 Internationalisation 72.74 74.34 Méthodologie du Baromètre 258 dirigeants de startups françaises de différentes maturités (0 à plus de 7 ans d’existences), représentatives de la diversité de l’écosystème français des entreprises innovantes ont été interrogées entre mi-janvier et février 2023 dans le cadre de la construction de l’Indice de Confiance des Dirigeants de Startups. Le calcul de l’indice de confiance est basé sur une conversion des réponses en chiffre de 0 à 100. Le niveau de confiance le plus élevé correspond à 100. Cet indice est donné en valeur absolue. L’objectif de ce baromètre sera de pouvoir suivre au cours des trimestres et des différentes éditions de ce baromètre, les variations de l’indice et l’évolution de ce degré de confiance. A propos de Mazars Mazars est un groupe international et intégré spécialisé dans l’audit, la fiscalité et le conseil ainsi que dans les services comptables et juridiques*. Présents dans plus de 95 pays et territoires à travers le monde, nous nous appuyons sur l’expertise de plus

Construire le prévisionnel financier de sa startup SaaS

Construire le prévisionnel financier de sa startup SaaS Construire le prévisionnel financier de sa startup SaaS Construire le prévisionnel financier de sa startup est certainement une des choses les plus compliquées pour un entrepreneur, que ce soit pour obtenir un financement ou piloter son business. Mais même si vous n’avez pas envie de le faire, vous n’y échapperez pas ! On perd souvent du temps à chercher le bon modèle, à essayer de le comprendre et à l’ajuster à son activité. Car selon votre business model, les indicateurs que vous devez mettre en avant ne sont pas les mêmes. C’est notamment le cas des startups SaaS qui sont pleines de spécificités. Nous allons donc voir dans cet article les tableaux financiers à mettre dans votre prévisionnel et les indicateurs SaaS que vous devez absolument connaître. Qu’est-ce qu’un prévisionnel financier ? Commençons par définir ce qu’est un prévisionnel financier et quelle est son utilité. Car c’est  toujours mieux de savoir pourquoi on le fait. 🙂 Définition du prévisionnel financier Un prévisionnel financier (on parle également de business plan) est une projection des chiffres de votre startup sur les mois et les années à venir. L’objectif est donc de donner une vision chiffrée de votre activité. Ils sont le reflet de la vie de votre startup. Quand réaliser ses prévisions financières ? La première fois qu’on réalise un prévisionnel financier, c’est généralement pour obtenir son premier financement. L’objectif dans ce cas est de démontrer votre capacité à croître et à être rentable dans les années qui arrivent.  Lorsqu’on commence à générer du chiffre d’affaires avec une belle croissance et des dépenses de plus en plus importantes, il est également essentiel de maîtriser vos prévisions afin de ne pas vous retrouver dans le rouge financièrement et brûler tout votre cash. Quels tableaux mettre dans son prévisionnel financier ? Deux notions sont essentielles lorsqu’on analyse ses chiffres et réalise ses prévisions : la rentabilité et le cash (la trésorerie). Pour les mettre en avant, voilà les deux tableaux que vous devez impérativement avoir. Le Compte de résultat prévisionnel Le compte de résultat (ou P&L en anglais, pour Profit & Loss) est un tableau qui met en avant les principaux indicateurs financiers de rentabilité de votre entreprise.  La rentabilité correspond à l’argent que vous gagnez tout au long de l’année. Pour la mesurer, il convient de faire la différence entre vos produits (c’est-à-dire l’argent gagné) et vos charges (c’est-à-dire l’argent dépensé).  Il vous permet de répondre à la question “est-ce que je gagne de l’argent ?”. 4 grands indicateurs sont essentiels à comprendre et calculer :  Le chiffre d’affaires, qui correspond à vos ventes. La marge brute, qui est une première indication de votre potentiel de croissance et de rentabilité. L’EBITDA, qui correspond à la rentabilité liée purement à votre activité. Le résultat, qui correspond à votre rentabilité finale. Le Cash Flow prévisionnel Maintenant que vous avez expliqué votre rentabilité, vous devez présenter vos prévisions de cash. Pour cela, utilisez le tableau de cash-flow. Le tableau de cash-flow reprend le cash-in (l’argent qui rentre) et le cash-out (l’argent qui sort) sur trois grandes composantes  Cash-flow operations, qui correspond au cash lié à votre activité. Cash-flow financement, qui correspond au cash lié à vos financements. Cash-flow investissement, qui correspond au cash lié à vos investissements.  ! Ne confondez pas la rentabilité et le cash-flow. La rentabilité répond à la question “est-ce que je gagne de l’argent ?”, alors que la trésorerie répond à la question “est-ce que j’ai de l’argent ?”. Vous pouvez avoir de la trésorerie sans être rentable (si vous venez d’obtenir un financement par exemple). Vous pouvez aussi être rentable et ne pas avoir de trésorerie car vos clients vous paient trop en retard. Comment faire un prévisionnel financier SaaS ? Partir d’un modèle basique est toujours compliqué lorsqu’on réalise ses prévisions financières car chaque business model à des spécificités. Et notamment le SaaS. Il est donc important de les prendre en compte dans votre business plan. Les spécificités du business model SaaS La première spécificité d’une startup SaaS est la modélisation de ses revenus. Le modèle SaaS repose sur une récurrence des revenus avec différents abonnements possibles. Le chiffre d’affaires est donc plus compliqué à modéliser puisqu’il peut être composé de différents abonnements à des tarifs divers.  Ensuite, le coût d’acquisition des startups SaaS est également très spécifique. La première chose à faire est de comprendre comment vous générez et convertissez des leads : par le marketing ou par des sales, afin d’orienter dans la bonne direction votre business plan. Enfin, la durée de vie des utilisateurs est également une particularité du modèle SaaS. Vos utilisateurs peuvent se désabonner à tout moment et il faut donc être capable de les faire rester et comprendre pourquoi certains partent. Les indicateurs SaaS d’un business plan Voilà 4 metrics que vous devez impérativement mettre en avant dans votre prévisionnel financier, liés aux spécificités du business model SaaS :  MRR (Monthly Recurring Revenu) : il correspond au chiffre d’affaires mensuel récurrent venant de vos abonnements. Pour le chiffre d’affaires annuel, on parle d’ARR. Churn (attrition) : il mesure le pourcentage de vos clients qui arrêtent d’utiliser votre solution tous les mois.  CAC (Coût d’Acquisition Client) : il mesure combien cela vous coûte d’acquérir un client par vos dépenses marketing et “sales”. On parle également de CPA en anglais, pour Cost Per Acquisition. LTV : il s’agit du revenu moyen que va générer votre client “à vie” (c’est-à-dire tout le temps qu’il va utiliser votre solution). Avec le CAC et la LTV, vous pouvez terminer par calculer le ratio LTV/CAC, très prisé des investisseurs. Il vous permettra de définir si votre client vous rapportera plus (LTV) que ce qu’il vous a coûté pour l’acquérir (CAC). Vous êtes maintenant prêt à réaliser le prévisionnel financier de votre startup SaaS ! Les deux notions que vous devez mettre en avant sont la rentabilité et le cash. Pour cela, utilisez le P&L et le tableau de cash-flow. N’oubliez pas

ConfinéFaceCaméra #9

ConfinéFaceCaméra #9 ConfinéFaceCaméra #9 Ambre Soubiran, CEO de Kaiko Nous donnons la parole aujourd’hui à Ambre Soubiran, CEO de Kaiko, la startup qui collecte et normalise de la donnée de qualité sur les #cryptomonnaies et la distribue aux acteurs du marché de la #blockchain. Malgré un confinement parisien un peu difficile, Ambre se discipline et ne s’ennuie pas avec une activité faisant partie des rares peu impactées. Selon elle, la priorité est de protéger le #capitalhumain, être transparent et rassurant avec ses collaborateurs pour sortir de cette crise avec une équipe renforcée. https://www.youtube.com/watch?v=ikDMLHNGVHg #ConfinéFaceCaméra

ConfinéFaceCaméra #8

ConfinéFaceCaméra #8 ConfinéFaceCaméra #8 Mehdi Ouchallal, co-fondateur et Directeur Général de Legalplace #8 Cette semaine, nous débutons les éditions de #ConfinéFaceCaméra avec Mehdi Ouchallal Ouchallah, co-fondateur et Directeur Général de LegalPlace. Malgré un business impacté, Legalplace continue à œuvrer pour sauvegarder l’écosystème #startups en proposant une boite à outil sur l’actualité #juridique notamment #RH afin de permettre aux PME et startups de gérer au mieux cette période de crise. En attendant de retrouver les terrasses parisiennes pour quelques bières entre amis, Medhi garde le lien avec ses proches et ses collaborateurs à travers des visioapéro et autres soirées poker. https://www.youtube.com/watch?v=_LYQTej4S4s #ConfinéFaceCaméra

ConfinéFaceCaméra #7

ConfinéFaceCaméra #7 ConfinéFaceCaméra #7 Diane Scemama – Dream Act Découvrez Diane Scemama, co-fondatrice et Présidente de Dream Act, dans ce 7ème épisode de #ConfinéFaceCaméra. Avec une équipe réduite et une activité ralentie, Diane jongle « entre être baby-sitter et #entrepreneure » au sein de « son #coworking à l’intérieur d’une crèche ». Diane projette déjà de se balader avec sa fille à la sortie du confinement pour aller soutenir les commerces locaux de sa ville. Si vous aussi, vous souhaitez témoigner dans un futur épisode de #ConfinéFaceCaméra, contactez-nous. https://www.youtube.com/watch?v=59wmQY4AZl4 #ConfinéFaceCaméra

ConfinéFaceCaméra #6

ConfinéFaceCaméra #6 ConfinéFaceCaméra #6 Cyril Chemla – ProcessOut #6 Cyril Chemla, co-fondateur et CEO de ProcessOut, revient sur l’actualité de la #startup et son rachat par la licorne britannique Checkout.com. Une intégration digitale et une activité peu impactée, Cyril ne s’ennuie pas garde le moral dans son confinement parisien. Ses conseils pour passer le confinement, faire de la musique et surtout prendre du recul sur la situation. Si vous aussi, vous souhaitez témoigner dans un futur épisode de #ConfinéFaceCaméra, contactez-nous. https://www.youtube.com/watch?v=TyFSwTteW0M #ConfinéFaceCaméra